alexametrics
vendredi 29 mars 2024
Heure de Tunis : 13:29
Dernières news
Selma Elloumi Rekik : Le traitement des dettes des hôteliers a changé
01/04/2015 | 14:55
1 min
Selma Elloumi Rekik : Le traitement des dettes des hôteliers a changé


Invitée à l’émission « Dans le vif du sujet » du mercredi 1er avril 2015 sur RTCI, la ministre du Tourisme, Selma Elloumi Rekik est revenu sur la question des dettes carbonisées du secteur hôtelier auprès des banques.


Il est à rappeler qu’un projet de loi sur le remboursement de ses dettes avait suscité une vague de contestation de la part des hôteliers. La ministre a assuré que le traitement du dossier avait changé et que même la fédération de l’Hôtellerie en est d’accord sur les grandes lignes, ajoutant qu’il s’agit, maintenant, « d’un outil pour assainir le secteur ». Mme Elloumi Rekik a indiqué, à ce propos, qu’une commission a été créée dans ce sens. Celle-ci est pilotée par le ministère du Tourisme « La FTH, la FTAV, le ministère des Finances et la Banque centrale y sont également représentés » a-t-elle complété.
La ministre a reconnu, dans le même contexte, que certains dossiers d’endettement recèlent des excès. « J’ai pu m’enquérir du dossier d’un hôtelier ayant contracté une dette de 9 millions de dinars. Il a remboursé 10 millions et la banque lui en demande encore 10 autres. Le comble c’est que la somme remboursée était principalement des intérêts et des pénalités, ce qui est inacceptable » a-t-elle dit.
Mme Elloumi Rekik a souligné, par ailleurs, que la première des priorités est de rétablir la sécurité dans le pays tout en engageant, en parallèle, les réformes nécessaires. La ministre a attiré l’attention sur la nécessité de diversifier l’offre touristique « 80% du produit touristique tunisien repose sur le balnéaire. Ce n’est plus suffisant. Il faut miser sur nos autres richesses, notamment notre patrimoine archéologique» a-t-elle conclu.


E.Z.

01/04/2015 | 14:55
1 min
Suivez-nous
Commentaires (21) Commenter
L'endettement hôtelier
Slaheddine dimassi
| 02-04-2015 19:27
Si adnène,
Avant de faire des commentaries au sujet des crèdits hôteliers et de demander á la BCT de sévir, commencer par vous documenter sur les abus des surfacturations pratiquées par les banques et du non respect de la réglementation en vigueur. Le plus dangereux c'est le .manque de rigueur de la BCT dans le contrôle des opérations des banques et le manque de respect de cette législation . Ces abus ont atteint par fois prés de 70 pour cent de majoration des intérêts . Commençons d'abord par les calculs et arrêtons les véritables Montants de l'endettement et par la suite les solutions en découleront d'elles - mêmes.
Tourisme et développement
mjr
| 02-04-2015 14:25
Dans le cas d'une économie en difficulté , aucun secteur ne peut prétendre à être sauvé au détriment des autres. Seule une bonne appréciation de l'urgence des problèmes comprise à différents niveaux permettrait de rétablir la confiance et aider au remettre le pays au travail.
Le traitement de l'endettement doit être le premier volet car le non remboursement de crédits est un détournement déguisé des ressources financières du pays et qui a en plus contribué à mettre en difficulté le système bancaire.
Il n'y a jamais eu de politique du tourisme en Tunisie ;des villes comme Tabarka,Kairouan ou Kelibia qui étaient accessibles par chemin de fer à l'indépendance sont devenues isolées de ce point de vue.
La politique touristique se résumait à 90% en " des locations de chambres par des hôteliers concentrés en trois ou quatre régions sur le littoral".
A titre indicatif les pays développés (France, Autriche ,Espagne ...) ont construit leurs économies en donnant une place primordiale à l'Agriculture, l'Industrie ,aux Transports pour pouvoir développer un tourisme accueillant, diversifié, viable à haute valeur ajoutée et pouvant avoir des retombées positives dans toutes les activités (transport, commerce,culture,...) et sur tout le pays.
En dehors des problèmes urgents(situation sécuritaire) et récurrents (sauver la saison estivale ),il est temps de réfléchir à une nouvelle approche dans le cadre d'un développement équilibré à long terme du tourisme pour tout le pays.Cela permettra de redonner confiance aux régions intérieures qui ne se contenteraient pas d'envoyer des jeunes travailler en saisonniers et en précarité sur le littoral et grossir les ceintures de pauvreté autour des grandes villes (Tunis,Hammamet,Sousse...),mais contribuerait à les maintenir sur place avec des perspectives d'emploi et de stabilité.Il semblerait que rien que du point de vue vestiges romains,tout le pays en regorge.

Soyons pragmatiques SVP.
Tunisien
| 02-04-2015 13:40
Diversifier l'offre touristique. Vendre le culturel. Multiplier les gîtes ruraux !!!!
Tel un disque rayé que se relayent ceux qui n'ont jamais vendu un séjour à un client et qui ne connaissent du tourisme que sa partie théorique à commencer par les politiques.
Je suis depuis 30 ans en avant-poste en tant que tour opérateur basé à l'Etranger donc pratiquant la vente au quotidien de séjours vers la Tunisie. Je peux vous dire que même l'administration du tourisme (ONTT) est décalée et ne sait plus de quoi elle parle.
Comment peut-on aujourd'hui parler de vendre du culturel pour relancer la machine du tourisme !
Avant la révolution quand tu vendais du culturel vers la Tunisie tu faisais à peine 2000 clients quand avec le même investissement marketing tu pouvais faire 20.000 clients balnéaires. On le faisait par fierté vis-à-vis de notre culture et par amour pour notre pays car côté rentabilité ce n'était pas assuré et aucun gros distributeur n'en voulait. Un gros distributeur qui publie une page sur un Club vend 4 à 5.000 passagers dans l'année alors qu'il vend à peine 200 clients sur un produit saharien ou culturel en Tunisie ou ailleurs. Donc même si c'est contraire aux recommandations de la Banque Mondiale le point fort du tourisme tunisien restera bel et bien le balnéaire (dont le potentiel n'est même pas exploité à 20%). Cette question est à elle seule tout un débat. Allez voir le balnéaire de l'Ile Maurice, des Seychelles, des Maldives, des Bahamas et ce qu'il rapporte et comparez avec notre balnéaire pour vous rendre compte de notre véritable potentiel balnéaire que certains dénigrent ! 1600 km de littoral avec des plages de rêves à peine à 2 heures des principales capitales européennes, un réservoir d'un potentiel de près de 600 millions d'habitants.
Bref, depuis la révolution et pour des raisons de sécurité ci-après le constat en ce qui concerne l'évolution de la clientèle européenne :
Tourisme saharien (région de Tozeur) : On est passé d'une échelle 100 à près de Zéro
Les circuits Sud Tunisien au départ de Djerba : On est passé d'une échelle 100 à près de Zéro
Les Circuits Nord Sud tour de Tunisie : On est passé d'une échelle 100 à près de Zéro
Les Voyages de Groupes : On est passé d'une échelle 100 à près de Zéro
Les séminaires et Incentive MICE : On est passé d'une échelle 100 à près de Zéro
Le handicap majeur aujourd'hui pour la relance du tourisme c'est la peur de l'insécurité. On ne pourra parler de relance du culturel que quand le pays sera revenu à une sécurité sans failles. Cela prendra des années à l'instar de ce qui s'est passé en Egypte ou à Marrakech. En attendant, toutes les ambassades quand elles n'interdisent pas à leurs ressortissants les voyages en Tunisie recommandent d'éviter les déplacements et les lieux de rassemblement (un musée est un lieu de rassemblement).
En attendant le retour de la normalité le secteur ne peut pas vivre d'espoirs et de v'ux pieux. Aujourd'hui le plus sûr à sécuriser ce sont les hôtels. Il faut les sécuriser et les aider à ouvrir grandes leurs portes à tous les marchés en respectant les critères de qualité. Il faut qu'on sauve notre parc hôtelier constitué de 240.000 lits et de plus de 850 hôtels dont la construction a coûte des milliards de dinars aux tunisiens. Que restera-t-il d'un hôtel fermé pendant trois ans ? L'humidité, les rongeurs, les voleurs et j'en passe autant de fléaux qui réduisent la valeur du bien à grande vitesse.
La priorité c'est celle-là et par la suite le culturel reviendra progressivement mais restera toujours dans les 10% du potentiel global de la Tunisie.
@Mohamed Djerbi
Pro du Tourisme et Banquier connaissant bien les dossiers
| 02-04-2015 12:35
Si Mohamed je suis d'accord avec vous sur la partie Banque et remboursements. Pour la partie agriculture ou pas agriculture, à mon avis il ne faut pas tout mélanger !
La prise de position de Mme la Ministre et ce qu'elle dit concernant les banques est très dangereux pour la raison suivante :
Les Banques ayant appliqué les mêmes règles à tout le monde et si Mme Rekik admet aujourd'hui que le système est aberrant et qu'il a surfacturé ses services il se présentera deux cas au minimum :
1 ' Celui qui n'a pas payé pourrait en profiter et échapper au paiement (amnistie).
2 ' Quid de celui qui a payé ? On joue le fait accompli ou on lui rembourse ce qu'il a indûment payé selon les aveux mêmes de la Ministre ? On ne peut pas appliquer une réglementation pour ceux qui ont payé et une autre plus souple pour ceux qui n'ont pas payé ! De quel droit le ferait-on ?
C'est une porte ouverte à l'écroulement de tout le système bancaire.
Non Mme Rekik faites attention à ce que vous dites. Le sujet est très grave. Seuls les juges compétents peuvent dire si la facturation des banques à ses clients est légale ou illégale. Le politique n'a pas son mot à dire là-dedans.
Certains hôteliers se sont adressés à la justice et pour certains dossiers la justice leur a rendu des jugements favorables, pour d'autres non.
On marche sur des oeufs MMe La Ministre. Attention !
Réponse à @Hachou
Abel Chater
| 02-04-2015 12:13
Réponse à @Hachou
Ton arrogance m'étonne. Il manque un tout petit peu, pour demander de prendre la place de la ministre du Tourisme et du directeur général de l'ONTT à la fois.
Il y a obligeance de t'inviter à remettre tes pieds sur terre et à réviser ton charabia d'idées.
D'abord, ni les agents municipaux, ni les forces de l'ordre, ni l'armée tunisienne ne travaillent sous la tutelle du ministère du tourisme. Le contraire est de mise.
La saison touristique est déjà à mi-ouverte. La ministre a encore à peine du temps pour réaliser un départ du secteur du tourisme, lui-même handicapé et presque en état de coma, n'attendant que la faillite totale et la mort certaine. Au lieu de les faire revivre par le peu de moyens à sa portée, elle doit faire le travail du ministre de l'Intérieur et courir derrière les éboueurs pour nettoyer les villes ou s'occuper du travail des policiers et de l'armée, pour garantir une sécurité à ses touristes, qu'on peine à la trouver pour nous-mêmes.
Tu dois être fou à lier, même pour arriver à tangenter de telles idées aux devoirs de Selma Elloumi Rekik et de lui demander de renvoyer son travail aux calendes grecques, jusqu'à propreté et sécurité soient réalisées.
Tu dois d'abord savoir que la Tunisie, comme tout autre pays sudiste, ne sera jamais propre comme l'Allemagne. Lorsque je suis en Italie, au Portugal, en Grèce et dans certaines zones en Espagne, il m'arrive de me tromper de continent. A ce sujet, je peux te raconter une anecdote. J'ai vécu une année de sècheresse en Allemagne. L'herbe séchée a fait dévoiler le vrai visage de la propreté en Allemagne. Comme en Europe il y a la neige l'hiver et de longues herbes l'été, toutes leurs saletés demeurent cachées sous les herbes. Nous voyons la verdure et pensons à la propreté, alors que les sachets, les doses vides et les paquets de cigarettes nichent sous les herbes. Une tricherie de la nature qui ne trouve pas lieu chez nous.
Donc laissons la propreté de côté. Si nous n'étions pas propres dans notre vie, nous ne vivrions pas nonagénaires et centenaires.
Quant à la sécurité de la Tunisie, tu peux me croire, qu'on vit à présent cent fois plus sûrs qu'aux temps du dictateur déchu Ben Ali. En ces temps, tout se passait dans le mutisme total. Personne n'avait le droit d'en parler ou d'évoquer même entre les policiers eux-mêmes. Maintenant, il se passe un acte au Mont Châambi, la résonnance touche chaque quartier du pays. Nos médias n'ont plus de travail. Ils nous informent de tout et de tous. C'est pour cela que même le ministère de l'Intérieur contrattaque par ses propres informations et par ses propres vidéos, afin de calmer la population et de gagner sa confiance.
Il y a ceux de l'ancienne garde, qui ne misent que sur la question sécuritaire, par laquelle ils pensent bêtifier le peuple tunisien, comme quoi, seule la dictature leur permet la sécurité. Un maillage utilisé depuis César. Cette spécialité est employée même dans ce forum, par l'homme des abeilles @Léo, qui ne cesse de crier «vive Ben Ali» et de pleurer la perte des privilèges qu'il jouissait avec toute sa région du Sahel.
Ouvre une chaîne de télévision italienne, RAI uno ou autres. Les meurtres et les crimes qui trouvent lieu en Italie au quotidien, dépassent l'imagination humaine. Malgré tout, le tourisme boome chez eux, sans qu'aucun Italien ne dénigre son propre pays, comme le font nos «Klugscheiße».
En outre, tu nous amuses en pressant la ministre Selma Elloumi Rekik dans le coin du domaine agroalimentaire. Il paraît que tu ne connais pas le groupe Elloumi, ni Chakira, ni Cofat, ni autres.
Donc, reste dans ton volume réel et laisse la compétence aux compétents.
Merci pour m'avoir lu.
LE 11 SEPTEMBRE TUNISIEN EST PROCHE
JOHN WAYNE
| 02-04-2015 09:22
Les guerres de DAECH et d'Al Qaeda sont des guerres d'usure dont le but est d'effondrer des esprits la notion de « Dawla » c'est à dire d'état Tunisien au profit de celle d'un gouvernement universel qui aurait comme constitution le Coran et comme code pénal la Chariaa.
Effondrer l'état Tunisien veut dire que l'histoire de la Tunisie nationaliste dont l'aboutissement fut l'indépendance et la création des Tunisies de Bourguiba et de Ben Ali seraient effacées des esprits.
Il s'agit d'annihiler des pans entiers d'histoire, une spécialité qui est le fort des Israéliens mais aussi de leurs enfants prodiges les frères musulmans.
Ce sont les attaques terroristes surtout si elles touchent des symboles et affectent le moral des serviteurs de la Nation, qui feront que la notion de « Dawla » deviendra désuète et caduque puisque elle ne peut guère exister dans un contexte de désordre, de gabegie, et de violence.
La notion d'Etat est associée étroitement a la Nation d'ordre, un des termes favoris de Bourguiba, mais qui se retrouve surtout dans les pays dits « démocratiques ».
Pendant la guerre froide et surtout pendant la période du Maccarthysme, la CIA assassinait des citoyens Américains après leur kidnapping la nuit. Les corps de ces Américains devenus « bactéries communistes » n'étaient jamais retrouvés.
Les Nations sont sauvées par des hommes comme Bourguiba, comme Ben Ali, et comme moi-même qui mettent la Nation avant les concepts d'éthique humaine, surtout si ces concepts sont imposés a des pays par des agents payés par l'étranger comme les droit de l'hommistes Tunisiens.
La Tunisie ne survivra qu'avec un Ministère de l'Intérieur fort et impitoyable.
Il n'est pas trop tard pour imposer un Maccartisme Tunisien féroce qui fera disparaitre les traitres qui minent la Nation Tunisienne en l'affaiblissant et en la détruisant de l'intérieur.
Une répression interne fera que la Tunisie pourra faire face plus efficacement aux agressions externes qui se présenteront sous forme d'attentats à la grande échelle.
Car si de tels attentats qui ne seront autre qu'un 11 septembre Tunisien, étaient associés à des attaques internes coordonnées comme cette offensive de Têt Islamiste que je mentionne depuis des années, la Nation Tunisienne vivrait ses dernières heures et plongerait dans un chaos inextricable.
Les Tunisiens font une grande erreur en pensant que la Tunisie survivra plus que de quelques jours suite à une attaque aérienne.
En fin de compte la vulnérabilité de la Tunisie provenait plus de son peuple que de son étendue territoriale.
La Tunisie de par son histoire et sa position géographique est une puissance même si elle se trouve être limitée en territoire.
C'est son peuple par une mentalité coloniale, servile, et par une médiocrité intellectuelle endémique et irrécupérable qui en a fait un colosse aux pieds d'argile.

F.M. Alias JOHN WAYNE
Ancien Elève au Collège Sadiki
Diplômé d'Histoire et de Sciences Politiques de l'Université Paris-Sorbonne.
Ancien Fonctionnaire aux Ministères des Affaires Etrangères et de l'Intérieur Tunisiens des gouvernements d'Habib Bourguiba et de Zine El Abidine Ben Ali.
Diplomate de carrière et spécialiste de la sécurité et du renseignement.
@Hachou
Léon
| 02-04-2015 08:56
Laisse tomber! Pour certains l'essentiel c'est d'être débarrassée de Ben Ali. Non pas pour le contenu de son exercice (d'ailleurs il a été trèèèès positif) mais par un régionalisme frôlant la maladie.
Je te signale que les propos de l'un parmi ceux que tu cites ont beaucoup évolué depuis quelques années car j'avais lu ses premières interventions et les ai gardé pour le lui rappeler le jour où il comprendra comment il fait partie de ceux qui ont nuit au pays. Il en appelait à mettre une région (vitale et très peuplée) de la Tunisie sous un régime de Dhimmis, devant payer un tribu au pays. Il ne dénonçait pas une personne ou un groupement de personnes mais tous les habitants de toute une région. Et il dit aimer son pays. J'en étais même à douter qu'il fut payé par une organisation internationale sionisante pour semer la discorde entre tunisiens. Mais j'ai compris après coup que c'était juste un aveuglé de haine régionaliste qui n'arrive pas à avaler que sa révolution mue de haine a capoté comme toute entreprise haineuse.
Je ne me vois pas dénoncer telle ou telle région, moi monsieur! D'ailleurs la région qu'ils dénoncent n'est même pas mon lieu de naissance. Mais je condamne tout acte visant à séparer les tunisiens.
Alors laisse tomber, tu ne pourras jamais venir à bout de la haine, de ceux qui, en réalité, ne sont qu'un virage de public de stade (là aussi j'ai gardé au chaud l'une de ses interventions qui le prouvent réellement avec encore une fois, la haine verbale envers ceux qu'ils détestent. Peut-être pour des raisons personnelles).
Alors rien que pour l'emmerder je dis et redis VIVE BEN ALI et l'appelle à lire et à relire le
VERSET 112 de la SOURATE des ABEILLES.
Léon.
comme l a dit extra
lotfi
| 02-04-2015 08:20
ce secteur a enrichi beaucoup de gens illégalement. De plus il n est pas normal que les hôtels occupent les côtes, ou est l environnement dans tout ça. C'est un pays sous développé et il le restera tant que ces problemes ne sont pas résolus. A SUIVRE...
Le tourisme n apporte pas des devises, il les fait perdre à la Tunisie!!!
rayan benne
| 02-04-2015 08:15
Le tourisme apporte des devises à la Tunisie n est qu une fausse idée.
Une large route jouxtant le sable et longeant la plage est nécessaire.
Voir l explication dans mes 2 précédents commentaires ci-dessous( plus bas ).
Pas de démagogie
Mohamed DJERBI
| 02-04-2015 07:34
Peut on savoir quand le prêt de 9 millions de dinars a été contracté, à quelles conditions, taux d'intérêt et pénalité contractuelle ?
Si ce crédit a été contracté après l'an 2000 avec un intérêt de 10 % l'an et que rien n'a été remboursé en principal, oui les intérêts annuels pourraient dépasser son principal.
Si ce crédit a été contracté avant 2000, je parie que le taux d'intérêt dépasserait les 12 % et dans ce cas les intérêts seraient encore plus élevés.
Ce faux hôtelier, a -t-il fait son étude de faisabilité avant de s'y lancer dans son projet ? Non, il s'y est jeté les yeux fermés en suivant les autres lesquels souffrent sans qu'il le sache, ou encore en étant consciant mais avec sa petite idée dans la tête : contracter lun crédit de 9 MD et prendre 5 MD pour lui en miser sur les prorogations des délais de paiement, les amnisties d'intérêts et les pertes des dossiers dans les banques prêteuses.
Défendre de pareils hôteliers, c'est participer à la destruction de l'hotellerie dans son ensemble et de toute notre économie par ricohet.
Cet hôtelier n'a-t-il pas brader ses services aux étrangers parce qu'il était incapable de trouver de nouveaux clients.
Il a fait concurrence déloyale à ses voisins.
Il a des dettes impayées avec ses autres fournisseurs qu'il a mis en difficulté et je parie que certains ont fait des chèques sans provision par sa faute.
La STB, la Grande Banque, à l'origine de la construction de notre économie depuis l'indépendance est mal menée aujourd'hui par des politiciens incompétents et faux experts appelant à sa fermeture et pour cause, elle est en quasi faillite à cause des créances hotelières héritée de la BDET.
Abondonner les créances hôtelières est un crime contre toute la TUNISIE "peuple et économie". C'est du gaspillage pur et simple.
Madame la Ministre, si vous voulez vraiment que le tourisme marche dans notre pays, vous devrez le nettoyer des parasites "faux promoteurs", pousser les autres à améliorer la qualité de leurs services et demander aux clients le vrai prix. Le maintien à cette situation où l'offre est abondante et de qualité médiocre est nocif pour le secteur.
Enfin Madame la Ministre, vous qui venez des affaires, vous savez que quand une entreprise est en difficulté de trésorerie et on veut la sauver on procède à son dégraissage par la cession de tous les biens qui ne sont pas nécéssaires à son exploitation. Si l'entreprise n'arrive pas à se positionner sur le marché en raison de ses coûts élevés, on remplace les machines anciennes par de nouvelles plus performantes et s'il y a du personnel en surnombre on procède à sa restructuration par un plan de départ des emplyés non nécessaires.
Madame la Ministre, je sais que vous voulez du bien pour votre département, lequel n'est pas le bien pour toute la Tunisie.
Les capitaux à allouer à ces mauvais hôteliers seraient de grande utilité pour notre agriculture. Les bénéfices seront plus importants pour toute la Tunisie.
l'augmentation de la production agricole contribuerait à la baisse des prix pour le simple citoyen qui n'aura plus l'occasion de dire que la vie est chère, pour les hôtliers dont les coûts vont baisser, les exportations de produits agricoles et la diminution des importations des céréales contribueraient à améliorer la balance commerciale autant que le manque à gagner résultant de la fermeture de 100 hotêls.
La balance commerciale tenderait vers l'équilibre contribuant à la baisse de l'inflation et l'appréciation de notre dinar.
Madame la Ministre, pensez à la TUNISIE et merci.