alexametrics
samedi 20 avril 2024
Heure de Tunis : 07:14
Dernières news
Néji Jelloul répond aux diffamations de Samia Abbou et Salem Labiadh
02/12/2016 | 22:29
1 min
Néji Jelloul répond aux diffamations de Samia Abbou et Salem Labiadh

 

Lors de la séance plénière consacrée à l’adoption du budget du ministère de l’Education, vendredi 2 novembre 2016, le ministre Néji Jalloul a répondu aux accusations proférées par les députés Samia Abbou Et Salem Labiadh.

 

En effet, accusé de corruption par Salem Labiadh concernant une affaire de vol de bons d’essence, M. Jelloul a affirmé que cette affaire date de l’année 2012-2013, et que c’est lui-même qui a transmis ce dossier à l’instance de contrôle du gouvernement conformément au principe de la continuité de l’Etat.

 

Revenant sur les accusations lancées par Samia Abbou et selon lesquelles le ministre de l’Education aurait désigné son frère à la tête de la commission de l’école numérique, il a répondu que son frère travaille au sein du ministère bien avant qu’il ne soit ministre, ajoutant que plusieurs membres de sa famille y travaillent, également, « Si les virer peut vous satisfaire, je le ferai ! », a-t-il déclaré sur un ton ironique.

 

On notera qu’à l’issue de la plénière le budget du département de l’Education nationale a été adopté avec 122 voix pour, 9 abstentions et 19 voix contre.

 

 

S.H

02/12/2016 | 22:29
1 min
Suivez-nous

Commentaires (22)

Commenter

Frayji
| 05-12-2016 11:57
Trop de tirailleurs, j'ai regardé dans leurs viseurs et j'ai cherché en vain, l'amélioration de notre système éducatif et l'intérêt de nos enfants, NON, Rien de rien. j'ai regardé dans leurs viseurs, sur leurs lignes de mire il n'a que ... Neji JALLOUL... c'est amer...

Monday
| 05-12-2016 10:08
"ghir el wakt él ma3kouss, yoskét él meniar, wiyghanni él khanfouss"!!

L'idéal est que ce Ministre respecté aurait du la laisser crier, jusqu'à vider son mézouéd", et continuer son travail comme il le sait bien faire.

Malheureusement, il est obligé de lui répondre; mais "youkass...él héndi bélanzass"!

3ABROUD
| 05-12-2016 09:39
L'éducation doit être une opération de rigueur, car elle a trait à des enfants et des adolescents. De l'acte d'enseignement-éducation en classe, à l'élaboration des circulaires, tout doit être méticuleusement pensé et préparé. Notre ministre fait beaucoup de "dérapages" et de tapage, se contredit, fait des promesses sans les tenir (blabla) et va à la stratification des établissements d'enseignement, en creusant l'écart. Il encourage l'utilisation des tablettes et tabliers dans certaines écoles, alors que d'autres sont privées du strict minimum ! Les directeurs généraux sont bien plus sages ; mais ils le liassent faire, comme un big bosssssss !

EL OUAFFII
| 04-12-2016 22:04
Monsieur Nejib Jelloul ne donner pas d'importance à ceux qui cherchent de freiner le pays ils ont du mal quand il voit votre Ministre en bonne santé qui vous autorisez de toucher la situation administrative de vos proches vous aviez pas le droit de sacrifier avec ces innocents Dans notre pays c'est vous le premier qui vous étiez mal mener vous aviez oubliez ce qui c'est passé à Ben Ali et les divers diffamations ainsi à ses proches les fils nobles de Si Mohamed Trablsi Leilla Trablssya .En conclusion consentiez vous en vers vos taches et n'écouter à personne sauf vos chefs réglementaires .

Abel Chater
| 04-12-2016 17:56
Néji Jalloul est pratiquement le seul arriviste post-révolution du 14 janvier 2011, qui n'appartient pas à cette Révolution tunisienne, mais qui déjoue tout le monde pour faire reculer le pays vers sa nostalgie régionaliste.
Pédagogiquement il est plus que nul. Ses décisions sont prises à la hâte. Son travail est plus médiatique que réel. Son intérêt accru pour la dénomination des écoles primaires aux noms de morts, là où nos petits enfants ne comprennent rien du tout de la réalité, n'illustre que l'avidité de Néji Jalloul de se faire applaudir même par les enfants des écoles primaires. Un esprit enfantin plutôt théâtral qu'efficace. Ses délibérations sont restreintes. Ses prises de position sont dictatoriales. Son travail se limite à des décisions vacuum par le bout du stylo. Rien de concret pédagogiquement étudié conforme à des procédés et à des méthodes rigoureusement précisés par la science pédagogique. Tout se base sur son propre avis limité à la nostalgie de son propre passé tambouriné par ses amis RCDistes, dont son frère et son entourage évoqués par Samia Abbou.
Examen de la sixième année aboli à jamais. Non l'examen de la sixième année est de retour par une coche du stylo rouge de Néji Jalloul. Il ne lui manque encore que de restituer le "Certificat de fin d'études primaires" (Ch'hèdè), pour se rappeler des youyous de sa famille et de la fête que lui tinrent ses parents en cette journée "bidon", pour un certificat plus que bidon, comme son examen de la sixième et de la neuvième année, qui n'ont aucune valeur réelle ni sur le marché de l'emploi, ni même sur le niveau scolaire de l'élève, vu que même le niveau des bacheliers ne leur aide presque plus à rien.
Au lieu de changer tout le système pédagogique de l'éducation nationale suivant les méthodes des pays avancés, à commencer par l'orientation de l'élève depuis la première année et au plus tard à la quatrième année primaire, vers plusieurs filières, afin qu'on ne lui fasse pas perdre plusieurs années de sa vie à faire le va-et-vient pour rien, vers un lieu (école) où tout le monde l'appelle:"ya B'him", alors qu'il se peut qu'il soit doué dans la mécanique, la menuiserie ou dans n'importe quel autre métier de ce monde, qu'il aime lui-même. Non, Néji Jalloul comme ses prédécesseurs, les laisse grandir à l'école primaire jusqu'à ce que leurs moustaches poussent, puis leur faire perdre encore tant d'autres années au secondaire, pour les libérer à l'âge de 20 ans et plus, avec un cerveau vide, un niveau nul et un âge avancé pour l'apprentissage d'un métier qui pourrait leur sauver l'avenir.
Néji Jalloul fait preuve de la nullité de ses pairs politiciens, qui ne travaillent que pour qu'on parle d'eux, dans l'idée de laisser leurs traces et leurs empreintes. Une maladie incompréhensible, surtout lorsqu'ils voient d'eux-mêmes où se trouvent à présent leurs prédécesseurs et combien le défunt Mohamed Charfi ramasse de damnations (killèt errahma), même des décennies après son départ.
Ces nullards n'ont pas appris à travailler pour la patrie. Ils n'ont appris qu'à penser à leur propre profit personnel, oubliant le dicton arabe : «law damèt lighaïrikè, lamè èlèt ilayk» (s'il y avait perduration de tes prédécesseurs, tu n'aurais jamais accédé à ce poste de malheur).

Famous Corona
| 04-12-2016 14:04
il suffit de se donner la peine de le prendre...

Assayeda
| 03-12-2016 22:24
Il faut la soigner cette malade hystérique. Elle ne fait que se quereller. Toujours ZIAT we SIAH avec elle. Elle doit voir un médecin psychiatre. Et elle se croit être députée avec ce comportement? Mais c'est une catastrophe, une insulte à l'égard de l'assemblée. Il faut la forcer à une cure de civilité et d'humilité. Merde aux chaines de télé qui l'invite à apparaitre.

La cause du peuple
| 03-12-2016 19:24
pourquoi les enfants d'islamustes et non islamistes ils pursuivre leurs etudes a l'etrangres ?
pourquoi les embassades payent les prix en cahrge ?
.les fautes de Bourguiba qui a arabiser l'EDUCATION

Abou Nada
| 03-12-2016 19:23
Il est réjouissant de voir que la plupart des commentateurs ont fait la bonne lecture des motivations de ces détracteurs de NJ et leur connivence avec le gourou qui les manipule!

Famous Corona
| 03-12-2016 18:05
Et le remède c'est...,? Med devrait y faire quelque chose pour préserver sa santé!!