Le pays grouille de terroristes : ceux qui sont dans les montagnes, ceux qui les assistent et les approvisionnent parmi les habitants et ceux qui sont dans les prisons ainsi que ceux qui sont dans les institutions de l'Etat telle que le parlement.
La vice-présidente de la Commission nationale de la lutte contre le terrorisme, Neila Feki a précisé, lors d’une séance d’audition à l’ARP, tenue ce lundi 18 février 2019, que « la Tunisie n’a pas le choix en ce qui concerne le retour des combattants impliqués dans le terrorisme dans les zones de conflits » étant donné qu’il s’agit d’un « engagement international ».
Mme Feki a également indiqué que la Constitution stipule que tous les Tunisiens ont le droit de vivre dans leur pays. Et d’ajouter que le traitement de la Tunisie de cette affaire consiste en 3 axes, à savoir le recours à la justice, la réhabilitation des combattants en prison en vue de protéger les autres incarcérés du danger de l’endoctrinement en plus de leur assurer un suivi après leur sortie de prison.
B.L
Commentaires (7)
CommenterBalivernes!!!!
Le pays grouille de terroristes : ceux qui sont dans les montagnes, ceux qui les assistent et les approvisionnent parmi les habitants et ceux qui sont dans les prisons ainsi que ceux qui sont dans les institutions de l'Etat telle que le parlement.
non
@Rationnel
C'est la règle. Si un Allemand , un Français ou un Anglais commet un crime en Tunisie, il sera jugé et mis en prison en Tunisie. Et vice versa.
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Non! ce n'est pas vrai
Si on a le choix...
La Tunisie a toujours le choix de refuser
La Tunisie n'a pris aucun engagement international pour le retour de ces bombes a retardement. la Tunisie ne doit pas prendre l'initiative dans ce problème puisqu'elle risque de créer des problèmes pour les pays européen qui refusent le retour de leur propres citoyens impliques dans le terrorisme. Ces pays ont suffisamment de problèmes pour le moment: Brexit (UK), Gilet Jaunes (France), AfD (Allemagne) et préfèrent ignorer ce problème. Les USA peuvent prendre en charge les éléments les plus dangereux et les garder a Guantánamo Bay qui doit rester ouverte de toute façon, le reste peuvent camper dans le désert Syrien.