alexametrics
vendredi 19 avril 2024
Heure de Tunis : 09:39
Dernières news
Mustapha Ben Ahmed : Nidaa Tounes n'est plus un parti politique
23/03/2019 | 13:23
1 min
Mustapha Ben Ahmed : Nidaa Tounes n'est plus un parti politique

 

Les négociations sont avancées entre Tahya Tounes et Machrouû Tounes, en vue d’une union pérenne dont la forme n’a pas été déterminée pour le moment.

 

C’est ce qu'a indiqué ce samedi 23 mars 2019 le chef du bloc parlementaire de la coalition nationale Mustapha Ben Ahmed, à Meriem Ben Hussein dans son émission Zone Franche sur Express Fm. Et d’expliquer que les deux partis politiques partagent la même vision, les mêmes positions, le même discours politique, etc.

 

 

S’agissant de Nidaa Tounes, l’élu a estimé que le mouvement s’est transformé de parti politique à un petit projet d’entreprenariat qui sert les intérêts de certains individus et personnalités. Donc, il n’a plus de position ou d’objectifs politiques mais seulement l’intérêt de certains lobbies.

 

 

I.N

23/03/2019 | 13:23
1 min
Suivez-nous

Commentaires (21)

Commenter

rz
| 25-03-2019 08:25
Ah non Mr Ben ahmed vous faites du zèle, mais de toute les manière il me semble que vous vous trompez d'adversaire et vous semblez oublier votre fragmentation qui ne peut qu'encourager les khouanjia à continuer dans la destruction du pays.

Mohamed 1
| 24-03-2019 15:03
Ce que tu avances peut se réaliser, après le "vrai" modernisme vécu pendant la troïka, tels que les fanas de jogging du Chaambi, l'incendie de l'ambassade américaine, l'islam en colère, le clivage du peuple entre croyants et mécréants, la presse libre taxée de presse de la honte, l'inféodation au Qatar et à la Turquie, participant au déficit de notre balance commerciale, la femme complémentaire de l'homme, assassinats de Belaid et de Brahmi, pourtant opposants de longue date jamais visés de cette manière, lynchage de Lotfi Naghdh, déstructuration et démolition des fondements de l'Etat, l'insistance à mentionner la charia dans la constitution, le refus de l'égalité hommes- femmes en droits, l'esprit butin jamais repu, le mépris pour le tourisme, un déluge de mensonges (pétrole, sel, indépendance...), un taux de régionalisme et de séparatisme jamais vus, un endettement en flèche, la corruption passée d'un niveau modéré à un niveau généralisé, encouragement du marché parallèle, de la paresse et de l'impunité, provoquant chute de dinar et montée de l'inflation, infiltration partisane des secteurs étatiques sensibles, détérioration des relations avec la moitié des pays arabes naguère amis, volonté d'exclusion arbitraire des adversaires en dehors du mécanisme électoral, milice créée pour terroriser, non respect des délais convenus pour quitter le pouvoir, extrême lenteur dans l'exécution des missions... Je pourrai passer une semaine encore à énumérer et je n'en aurais pas fini.
Dans un pays musulman, quand quelqu'un se présente aux élections comme musulman, et qu'il présente ses adversaires comme laïcs ou mécréants, ces élections ne peuvent plus être taxées de loyales.
Pour que tes prévisions soient justes, il est nécessaire de faire participer les indécis et les abstentionnistes. Le travail serait facile, si l'on tenait compte seulement du "vrai" modernisme de la troïka. Seulement, avec ces "retombés en enfance" qui dirigent le clan moderniste, le travail sera plus difficile, mais pas impossible.

Microbio
| 24-03-2019 15:01
Les soi-disant partis du milieu sont condamnés à unir leurs forces et à former un centre politique unifié, ce qui s'applique également pour les partie de la gauche: tout le reste n'est que du temps PERDU!
Les structures et les niveaux sociales en Afrique du Nord sont très similaires et il n'est pas nécessaire d'être un prophète pour voir que l'avenir des partis à tendance islamique sera très fort et ainsi les parties islamiques seront incontournables pour gouverner.
Je veux dire, bientôt les partis islamiques auront toujours un grand rôle à jouer en Algérie et en Libye. Il en va de même pour renforcer le soi-disant Ennahda en Tunisie.

kamel
| 24-03-2019 13:30
Ce vieillard se croit roi plus que le roi

Abir
| 24-03-2019 11:42
Nous sommes majoritaire et cette majorité refuse et rejette les Kwanjia à part quelque traîtres journalistes et "politiciens"mais les 85% vont se partager en trois parties,55% pour Abir Moussi,20% entre Nida et Tahyia Tounes et 5% pour les indépendants .Vive la Tunisie!

Forza
| 24-03-2019 11:30
Bourguiba a falsifié les élections en 1981 alors que les islamistes, pratiquement, n'existaient pas
Le vrai vainqueur des leections était l'MDS de Mestiri un social-democrate et ex doustourien. Arrêtez donc de raconter que la présence des islamistes a freiné la démocratie. Les dictateurs despotes dirigeants des pays de la région voulaient garder le pouvoir à vie qu'ils s'appellent Bourguiba, Naceur, Assad ou Saddam, ne parlons pas des monarchies du golfe. Bourguiba combattait le Parti communiste aux années 60 et l'a interdit alors le parti communiste lui aussi cherchait à revenir au moyen-age ? Ne cherchez pas des arguments bidon pour défendre les dictateurs. Si demain les libéraux ou les sociaux-démocrates représenteront une force politique majeure, ils seront combattus par les émirats, l'Arabie Saoudite et leurs supports dans des pays comme la Tunisie. Ils veulent seulement garder leur pouvoir et les privilèges avec. Un islamiste comme Mahatir Mohammed en Malaisie est plus moderniste et progressiste que Bouerguiba et il a catapulté son pays dans d'autres sphères. Es-ce que le culte de personnalité de Bourguiba et les festivités de son anniversiates et les poètes populaires qui écrivaient des poèmes a sa gloire et étaient payées par l'argent du contribuable est de la mdoernite c'est plutôt saif edawla ou kafour Alachidi écoutant un poème de madih d'Almoutanabi, le moyen-age pratiquait par Bourguiba.

Mohamed 1
| 24-03-2019 11:04
Oui c'est loin d'être aussi simple. Les pays d'Europe, d'Amérique Latine, d'Asie, ont tout de suite réussi leur mue démocratique. Pourtant, toute la planète le sait, ils étaient gouvernés par des dictateurs sanguinaires autrement plus féroces que nos autoritaires dirigeants.
C'est parce que, dans leurs pays, il n'existait pas de tendance désireuse de ramener le pays aux traditions anciennes, en leur donnant frauduleusement un aspect religieux en vue de conquérir le pouvoir.
La présence de cette tendance rétrograde et opportuniste a fait changer subitement l'enjeu. Tout s'est bouleversé.
Les acquis modernes gagnés après l'indépendance, censés nous ouvrir une voie royale vers la vraie démocratie, étaient devenus en danger. Les citoyens alors se sont mis à plébisciter juste celui qui empêchera le pays de faire un bond en arrière vers les profondeurs du moyen-âge. Au lieu de penser à aller de l'avant dans le progrès et la démocratie, les modernistes se sont retrouvés acculés à sauver les meubles.
Profitant de l'aubaine, les responsables au moi hypertrophié mais à la compétence désastreuse, prolifèrent et tiennent même le haut du pavé.
Oui, c'est très compliqué.

Bourguibiste nationaliste
| 24-03-2019 10:20
Vous êtes tous des médiocres et des minables.
Sans la manipulation islamiste de 2011, vous n'existerez pas.
Des gens comme vous vivent très confortablement de la sueur des Tunisiens.
Qu'avez-vous apporté au pays et en quoi êtes-vous utiles. A part Bla Blater toute la journée.
Quelle honte, allez vous mettre au vrai travail et gagnez votre salaire en travaillant et non pas en étant assis toute la journée à ne rien faire.

!!!!!
| 24-03-2019 10:00
Des guignols

khadija
| 24-03-2019 09:57
Décidément il y a de l'optimisme et de la patience chez qq uns. Bravo ça dénote d'une certaine maturité même par rapport à un enfant gâté qui chiale partout où il passe...Quelle patience