| 23-05-2019 14:07
Cet individu aurait dû être poursuivi tant qu'il était entre les griffes de la justice. Maintenant, on peut courir pour le ramener chez nous. Il devrait être jugé pour haute trahison et non pas seulement pour espionnage, ayant comploté contre son propre pays et mené des activités qui relèvent du droit pénal. Car comment expliquer sa possession de moyens sophistiqués d'écoute et leur utilisation à proximité du palais présidentiel, ainsi que de cartes d'état major ? De plus, les informations collectées sont transmises à des parties étrangères, fût-ce l'ONU, et peuvent concerner la sécurité nationale. Celles ci se sont d'ailleurs empressées de le couvrir et de faire pression pour son élargissement. Expert onusien, mon oeil, dites plutôt espion et traître !
