Fidèle a tes idées et tes principes.
les personnes fort devant Ben Ali ils restent fort contre les marionnettes.
Le candidat du parti Attayar à la présidentielle, Mohamed Abbou a été présent, ce jeudi 22 août 2019, sur le plateau de l’émission quotidienne « le locataire de Carthage » (Saken Carthage) sur Attessia TV en partenariat avec Business News, pour revenir sur sa candidature à la présidentielle ainsi que sur son programme.
Mohamed Abbou a, dans un premier temps, commenté la décision du chef du gouvernement, Youssef Chahed de déléguer ses pouvoirs à Kamel Morjane, indiquant que cette décision aurait pu être prise plus tôt et non après avoir exploité ses avantages de chef de gouvernement afin de servir son image de candidat à la présidentielle.
Par ailleurs, Mohamed Abbou a indiqué qu’il se présente à la présidentielle afin de changer la situation actuelle et lutter contre la corruption, la tyrannie et la marginalisation. « Rien n’a changé au niveau de ces trois axes, même sur le plan économique il y a eu une régression. Cela dit, il ne faut pas induire les gens en erreur puisqu’il ne s’agit pas uniquement du rôle du président de la République, toutefois, il est possible de changer les choses en étant en harmonie avec le chef du gouvernement ».
« Une fois président République, je romprai avec la corruption politique et administrative. Cela dit, tout cela ne peut être faisable qu’à travers une étroite collaboration avec le chef du gouvernement », indique-t-il.
Le candidat d’Attayar est, également, revenu sur sa position par rapport aux ligues dites de la protection de la Révolution qu’il a, déjà, défendu auparavant estimant qu’elles ont eu le rôle de faire pression sur le gouvernement pour la réalisation des revendications de la révolution. Il a indiqué qu’il a appelé à ne pas user de la violence et qu’il ne s’est pas rangé du côté de la violence.
Mohamed Abbou a assuré qu’il est pour l’égalité dans l’héritage et pour l’égalité d’une manière globale, conformément, aux dispositions de la Constitution. Quant au port du niqab il a indiqué qu’il s’agit d’une liberté individuelle, toutefois, l’Etat a le droit de fixer des règles afin de se préserver des éventuels, notamment, lorsqu’il s’agit de terrorisme.
S.H
Le candidat du parti Attayar à la présidentielle, Mohamed Abbou a été présent, ce jeudi 22 août 2019, sur le plateau de l’émission quotidienne « le locataire de Carthage » (Saken Carthage) sur Attessia TV en partenariat avec Business News, pour revenir sur sa candidature à la présidentielle ainsi que sur son programme.
Mohamed Abbou a, dans un premier temps, commenté la décision du chef du gouvernement, Youssef Chahed de déléguer ses pouvoirs à Kamel Morjane, indiquant que cette décision aurait pu être prise plus tôt et non après avoir exploité ses avantages de chef de gouvernement afin de servir son image de candidat à la présidentielle.
Par ailleurs, Mohamed Abbou a indiqué qu’il se présente à la présidentielle afin de changer la situation actuelle et lutter contre la corruption, la tyrannie et la marginalisation. « Rien n’a changé au niveau de ces trois axes, même sur le plan économique il y a eu une régression. Cela dit, il ne faut pas induire les gens en erreur puisqu’il ne s’agit pas uniquement du rôle du président de la République, toutefois, il est possible de changer les choses en étant en harmonie avec le chef du gouvernement ».
« Une fois président République, je romprai avec la corruption politique et administrative. Cela dit, tout cela ne peut être faisable qu’à travers une étroite collaboration avec le chef du gouvernement », indique-t-il.
Le candidat d’Attayar est, également, revenu sur sa position par rapport aux ligues dites de la protection de la Révolution qu’il a, déjà, défendu auparavant estimant qu’elles ont eu le rôle de faire pression sur le gouvernement pour la réalisation des revendications de la révolution. Il a indiqué qu’il a appelé à ne pas user de la violence et qu’il ne s’est pas rangé du côté de la violence.
Mohamed Abbou a assuré qu’il est pour l’égalité dans l’héritage et pour l’égalité d’une manière globale, conformément, aux dispositions de la Constitution. Quant au port du niqab il a indiqué qu’il s’agit d’une liberté individuelle, toutefois, l’Etat a le droit de fixer des règles afin de se préserver des éventuels, notamment, lorsqu’il s’agit de terrorisme.
S.H