Le rapport annuel intitulé « Les femmes et la science » et conçu par l’Organisation des Nations-Unies pour l’éducation, la science et la culture (Unesco), a classé les femmes tunisiennes à la tête des listes des femmes scientifiques en matière de parité avec leurs homologues masculins, dans les domaines de la recherche scientifique et de l’innovation.
Selon le rapport portant sur le statut des femmes dans le domaine de la recherche scientifique, la Tunisie vient à la tête de la liste avec 55% des femmes scientifiques (45% d'hommes scientifiques) contre 39% des femmes dans la région arabe.
Ainsi, la Tunisie devient l’exception dans le monde arabe grâce à son respect du principe de l’équité de genre dans le domaine de la recherche scientifique.
B.L
Les scientifiques tunisiennes lauréates de la recherche scientifique et de l’innovation
Le rapport annuel intitulé « Les femmes et la science » et conçu par l’Organisation des Nations-Unies pour l’éducation, la science et la culture (Unesco), a classé les femmes tunisiennes à la tête des listes des femmes scientifiques en matière de parité avec leurs homologues masculins, dans les domaines de la recherche scientifique et de l’innovation.
Selon le rapport portant sur le statut des femmes dans le domaine de la recherche scientifique, la Tunisie vient à la tête de la liste avec 55% des femmes scientifiques (45% d'hommes scientifiques) contre 39% des femmes dans la région arabe.
Ainsi, la Tunisie devient l’exception dans le monde arabe grâce à son respect du principe de l’équité de genre dans le domaine de la recherche scientifique.
Cette recherche d'égalité ,est une obsession dont il faut se soigner ,n'est ce pas une femme qui a découvert l'uranium ?! '?duquez les femmes selon les principes de la bonne morale religieuse ,c'est tout ,dans la scolarité elles se débrouillent bien , leur rôle familial ,où elles sont irremplaçables ,les bousculé un peu ,mais la concurrence avec les collègues de l'autre sexe ne doit pas entrer dans l'affaire ,la recherche c'est une question d'argent .
Si on compare les chiffres de l'Allemagne par exemple, par rapport à la Tunisie:
Nombre de chercheurs par million d'habitant:
TN: 1964,97 dont 55% femmes et 45% hommes
DE: 4893,15 (presque 4x plus) dont 28% femmes et 72% hommes
(chiffres 2016, source: https://data.worldbank.org/indicator/SP.POP.SCIE.RD.P6)
donc:
femmes chercheurs / par million d'habitant:
TN: 1080,73
DE: 1370,08
hommes chercheurs / par million d'habitant:
TN: 884,23
DE: 3523,06
En Tunisie, la pluspart des femmes chercheurs sont dans les institutions académiques, 57% contre 43% pour les hommes. Parcontre, le pourcentage d'homme est nettement plus supérieur dans le secteur privé: 70% contre 30% pour les femmes, ce qui fait en nombre de chercheurs par million d'habitant, 618,96 hommes contre 324,22 femmes (presque le double en nombre).
Mon explication, c'est que les homme cherche des activités plus lucratives, pourcela, il sont plus nombreux dans le secteur privé puisque l'etat Tunisien investit peu dans la recherche académique et les salairs sont relativement faible, ce qui n'est pas attirant pour les hommes. parcontre, les femme cherche généralement plus de stabilité et ne quittent pas les universités pour s'aventurier dans l'industrie en plus des raisons détaillés dans les lien de mon commentaire précédent.
D'autres études, ont démontrées que plus un pays est développé, moins les femmes font d'études scientifiques et plus un pays est égalitaire, moins les femmes s'orientent vers des études scientifiques! ce qui est déja remarcable dans ce rapport de l'UNESCO: 32% en Amérique du nord et europe occidentale (32% aux USA, 27% en France et 23% en Allemagne) et 16% au Japon.
Les auteurs de l'étude ont noté que les jeunes filles étaient au moins aussi douées en sciences que les garçons dans la majorité des pays, parcontre, les femmes des pays plus inégalitaires tentent davantage d'études scientifiques pour s'assurer une carrière stable et lucrative.
Olga Khazan: «Ce n'est pas l'égalité des genres qui découragent les femmes à faire des études scientifiques, explique-t-elle. C'est simplement que dans les pays plus riches, elles ont le choix de faire autre chose si les sciences ne les intéressent pas».
Etude publiée dans la revue Psychological Science:
The Gender-Equality Paradox in Science, Technology, Engineering, and Mathematics Education
https://journals.sagepub.com/doi/abs/10.1177/0956797617741719?journalCode=pssa
LE FIGARO:
https://etudiant.lefigaro.fr/article/plus-un-pays-est-developpe-moins-les-femmes-font-d-etudes-scientifiques_aa7759ae-16ee-11e8-b38a-0929f7da0ad0/
