La commission de soutien au journaliste et écrivain, Taoufik Ben Brik a rendu public un communiqué, ce mardi 4 août 2020, pour exprimer son refus du jugement prononcé par la Cour d’Appel, réduisant sa peine d’un an de prison ferme à huit mois de prison avec sursis.
La commission de soutien au journaliste a tout de même considéré que la libération de Taoufik Brik constitue une victoire, faisant part de son respect à l’instance judiciaire. Elle a toutefois estimé que sa condamnation est en dessous de ses attentes et qu’elle s’attendait plutôt à un non-lieu, d’autant plus que le comité de défense a fourni toutes les preuves de son innocence.
La commission a tenu a préciser qu’elle refuse catégoriquement qu’un journaliste soit inculpé pour avoir exprimé son opinion. Dans ce contexte, elle a indiqué que l’affaire Ben Brik est un retour en arrière sur les droits et la liberté d’expression, principaux acquis de la révolution.
Rappelons que Taoufik Ben Brik a été condamné en première instance à un an de prison ferme. Sa peine vient d’être réduite en appel à huit mois de prison avec sursis, suite à quoi il a été libéré. Le journaliste est accusé de diffamation proférée à l’encontre de magistrats.
M.B.Z
A moins qu'il ne soit incurable.
Sinon, son flirt avec le chef de kleb tounes, ne sera jamais pardonné ni des braves du Kef ni d'ailleurs.
Le journaliste est dans l'obligation de décrire les choses telles qu'elles sont et non au gré de certaines parties see croyant au dessus de la critique... Oui, bien des magistrats sont loin d'être justes. Les exemples de manque de professionnalisme comptent par des centaines...