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Inondations à Sfax : Réunion d'urgence de la commission de lutte contre les catastrophes
26/03/2015 | 21:30
1 min
Inondations à Sfax : Réunion d'urgence de la commission de lutte contre les catastrophes

Depuis l’après-midi du jeudi 26 mars 2015, des pluies diluviennes ont inondé la ville de Sfax entravant ainsi la circulation dans plusieurs routes de la ville et causant d’importants bouchons.

Plusieurs véhicules se sont retrouvés immobilisés par la pluie et des routes ont été coupées à cause des importantes chutes d'eau. Des bâtiments se sont retrouvés bloqués par les inondations et certains quartiers ont connu des coupures d’électricité.  

 

Par ailleurs, la commission régionale de lutte contre les catastrophes se réunira ce soir afin de décider des mesures nécessaires pour faire face à ce genre de situation.

26/03/2015 | 21:30
1 min
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Commentaires (15) Commenter
Désolé OURWA
DHEJ
| 27-03-2015 22:43
Il parait que tu connais rien à Sfax... Plus grave à l'administration Tunisienne comme

La direction de l'Hydraulique Urbaine


ou encore la direction de l'Aménagement du territoire...


Ce n'est pas seulement les NAKBAOUIS ...
@Gg
ourwa
| 27-03-2015 16:13
faut pas rigoler, Gégé ! Un minimum de respect pour Dieu, ses prophètes et ses larbins est de rigueur!...car tout ce beau monde ne supporte pas qu'on se moque d'eux; ils sont plus susceptibles que des Corses...
Bref, ce que'endure Sfax, depuis sa création, trouve son origine, il est vrai, dans le traitement qui lui a été infligé par les deux précédentes dictatures, mais aussi par la présente, nahdaouie, wahabite et criminelle à souhait...mais pas seulement. Il ne faut jamais oublier la légende millénaire concernant Sfax et qui dit:" Sfax est construite sur une tête de chien" sic...Une sorte de talisman maléfique reconnu par l'ensemble du monde arabe...Voilà le mystère!...Il va falloir fouiller tout le sous-sol de la ville, y compris sous les mosquées et les tombeaux des saints et extraire ce crâne de chien...et faire cesser la malédiction. De mauvaises langues prétendent que cette "tête de chien" n'est qu'une métaphore pour désigner les "têtes pensantes" de la ville, autrement dit ses gouvernants, gouverneurs, maires, élus nationaux et municipaux, délégués, omdas et cheikhs... Wallahou âalam !
Vous voila servi, Gégé !
Déboucher le bouché.
MFH
| 27-03-2015 14:35
Quand dame nature se met en colère, elle rase tout sur son passage. Bousalem, Jendouba, la capitale, aujourd'hui la capitale du sud et d'autres villes et villages dans le monde ont payé cher leur obstination à vouloir ignorer les droits de cette dame. Alors il faut déboucher, toujours déboucher, ...canaux, égouts, oueds, .... pour pouvoir solliciter ses faveurs.
Il faut se réunir avant la catastrophe, pas après !
Mourakib007
| 27-03-2015 13:17
Une commission régionale de lutte contre les catastrophes qui se respecte doit se réunir avant la catastrophe, et après s'il le faut; et doit prendre des mesures préventives.

Grâce à la grande compétence de nos ingénieurs, nos municipalités, et nos planificateurs urbains, toutes nos villes, petites et grandes, semblent être conçues pour un autre climat que le nôtre. Quand il pleut l'eau s'accumule dangeureusement même dans les quartiers les plus récents, les plus chics, les plus modernes, comme les Berges du Lac, etc. Elle s'accumule même sur l'autoroute A1 où il devient extrêmement hasardeux de conduire sur la voie la plus gauche.

Revenons à dite commission, maintenant qu'elle s'est réuni, on aimerais bien bien savoir qu'est ce que'elle a décidé. Il me semble que cette information est bien plus importante.
Bonjour!
DHEJ
| 27-03-2015 10:14
J'ai tiré les oreilles des responsables de la municipalité mais rien à faire

Une ville managée par des bras cassées...


Et le Kossentini parle de modernisation des infrastructures, lui qui a-t-il besoin de moderniser sa cervelle???
information populiste !
chou
| 27-03-2015 09:40
voilà enfin une preuve qu'il ne s'agit pas seulement de Bou Salem et Jendouba pour lesquelles les médias ont travaillé pendant plus d'une semaine avec le principe : le malheur des uns fait le bonheur (bon business) des autres ! télé, radios , larmes de députés etc...comme si les habitants de cette région ont eu cet évènement pour la première fois dans leur vie et que cela fait d'eux une victime unique dans ce pays !! vraiment débile . allez voir au coeur de Tunis et sur la première façade de notre pays qui est la sortie de l'aéroport de Carthage , chaque pluie torrentielle toute la circulation dans cette zone est immergée dans les eaux pluviales ceci n'est qu'un petit exemple du coeur de la capitale où tous les responsables et décideurs du pays passent leur vie quotidienne et personne n'a pleuré devant les caméras ni interviewé sur les antennes...Sfax la 2ème ville par excellence et depuis l'histoire du pays , la voici sous l'eau , est-ce qu'il ya eu cette propagande égale à celle de Bousalem ? en fin Brabbi arrêtez cette victimisation de régions internes ou de l'ouest et sud du pays. On est tous pareils on a les mêmes points faibles et ce genre de défaillance existe partout en Tunisie et nous Tunisiens sommes responsables car parmi nous plusieurs dans les municipalités , travaux publiques, ministères, etc...ont profité et gagné des sommes pour que ces travaux soient aussi médiocres et ces gens sont peut être nos proches, nos parents ou nos amis , alors arrêtez ces mascarades et travaillons pour changer vers le mieux (Kazien) mot qui instaure une culture , un mode de vie très responsable et efficace.
soyons Tunisiens SVP.
Sfax d'aujourd'hui.
Sfaxien.
| 27-03-2015 09:38
Sfaxiens pendant les quatres année passé avec Annahda votre ville a reculé 40 ans 10 ans par an et plus d'oxygène de la SIAP.
Avec tout ça vous avez votés en masse pour Annahda de Mr Frikha .
Que va t'il faire Mr Frikha pour vous aujourd'hui posez lui la question c'est lui votre porte parole a l'assemblée.
Va t'il se battre pour vos projets au point zéro.
Metro Tabarura la SIAP .
Je pense devant vous encore quelques années de galère.
Bonne chance a vous .

On seime on récolte.
Sfaxien.
| 27-03-2015 09:20
Le proverbe dit ce qu'on seime on le récolte .
Si chaque citoyen nettoye devant chez lui pour éviter que les égouts ne se bouchent pas , il n'y aura pas ces inondations .
Aussitôt que les gens nettoyent pas devant chez eux et ne respectent l'environnement le senerio contenura toujours.
Donc Messieurs les Sfaxiens la balle dans vôtre camps.
quoi d'autres ya rabi isterna
nida pour les catostrophes
| 27-03-2015 09:06
terrorisme; inondations ,quoi d'autres . rabi yustourna min hadhi louhkouma ya satar ister ;100 premiers jours de merde comment passer cinq ans (plutot cinq mois)
les même problèmes partout
rz
| 27-03-2015 09:02
Hier seulement avant que ces pluies diluviennes ne s'abattent sur la ville j'étais sur place et voilà mes constatations d'un visiteur neutre et occasionnel:
- ce qui frappe d'abord l'émergence d'une nouvelle ville moderne avec ses batiments flambants neuf
- les sfaxiennes dont les yeux pétillent d'énergie,ne portent presque pas de foulards, et on sent qu'elles sont libres dans leur tête c'est étonnant d'une ville qui a enfanté un certains habib ellouze
- les mosquées sont simples, pas nombreuses et pas de brouhaha des hauts-parleurs des mouezzins qu'on entend partout ailleurs et on est toujours dans la même ville de h.ellouze.
- circulation chaotique et paradoxalement pas plus d'accident qu'ailleurs
- la saleté partout, inexistence totale des services de nettoyage de la ville, mais cela n'est pas l'apanage de sfax seulement; toutes nos villes lui partage ce trophée.
- presque absence de cafés puisque tout le monde s'affaire et il n'y a pas lieu de s'installer oisif dans les cafés comme presque partout dans le pays
- à 19h déjà il n'y a plus personne dans les rues devenues désertes comme par enchantement
- je connaissais déjà Sfax avant et après l'ère Zaba: honnêtement il faut reconnaître que l'administration de zaba a métamorphosé la ville de sfax avec ses ponts, ses ronds-points (la fameuse Adma), l'aménagement des oueds des alentours qui faisaient des ravages à chaque pluies diluviennes...
Maintenant les mêmes problèmes demeurent mais les causes sont différentes: la saleté, le plastic, le non entretien des égouts et des autres canaux, les déchets de construction, le sable désertique, le manque d'eau... Cela demande un autre genre de réflexion si toutefois les khouanjia de tout bord nous laissent tranquille pour trouver des solutions à tout cela.