Réponse:une fois désigné,le Calife connait son sort:Tête coupée et au suivant....
C'est leur démocratie séculaire
Dans un communiqué publié aujourd’hui, mardi 31 mai 2016, Hizb Ettahrir a dénoncé l’interdiction de la tenue de son congrès annuel, prévu ce samedi 4 juin, par le ministère de l’Intérieur qui a évoqué « des raisons sécuritaires ». Tout en menaçant le gouvernement tunisien et ce qu’il a qualifié de « police politique » des « répercussions de leurs actes », le parti Ettahrir affirme que ceci ne l’empêchera pas de « continuer sur le chemin qui mène vers l’instauration du califat qui coupera les mains des colonisateurs mécréants, les Etats-Unis, la Grande-Bretagne et la France, et leurs sbires ». Le parti pointe du doigt des pratiques « abusives » du ministère de l’Intérieur qui n’aurait pas respecté les délais légaux pour refuser la tenue du congrès d’Ettahrir. « Votre injustice […] ne nous empêchera pas de tenir le congrès du califat, que ce soit dans le Palais des Congrès ou dans les places publiques », peut-on lire. « La légitimité de notre action nous est conférée uniquement par l’Islam qui nous oblige à faire de la prédication et de la lutte politique contre les traîtres et les criminels, et non d’un Etat qui s’est vendu au colonisateur […] même si la loi nous permet de tenir notre congrès ».
En effet, Hizb Ettahrir accuse l’Etat tunisien d’être sous les ordres de la Grande-Bretagne et de pratiquer toutes sortes de pressions sur les jeunes du parti et ses membres afin de « saboter leurs actions » et les empêcher d’« appeler à l’islam, et à sauver le monde à travers l’instauration du califat ».
On rappellera que le parti Ettahrir est légalement reconnu par l’Etat tunisien depuis 2012, année de sa légalisation par le gouvernement de Hamadi Jebali. Ce parti se dresse, pourtant, contre les fondements de l’Etat civil et de la Constitution appelant à l’instauration de la chariaa et au rétablissement du califat.
S.T.
Dans un communiqué publié aujourd’hui, mardi 31 mai 2016, Hizb Ettahrir a dénoncé l’interdiction de la tenue de son congrès annuel, prévu ce samedi 4 juin, par le ministère de l’Intérieur qui a évoqué « des raisons sécuritaires ». Tout en menaçant le gouvernement tunisien et ce qu’il a qualifié de « police politique » des « répercussions de leurs actes », le parti Ettahrir affirme que ceci ne l’empêchera pas de « continuer sur le chemin qui mène vers l’instauration du califat qui coupera les mains des colonisateurs mécréants, les Etats-Unis, la Grande-Bretagne et la France, et leurs sbires ». Le parti pointe du doigt des pratiques « abusives » du ministère de l’Intérieur qui n’aurait pas respecté les délais légaux pour refuser la tenue du congrès d’Ettahrir. « Votre injustice […] ne nous empêchera pas de tenir le congrès du califat, que ce soit dans le Palais des Congrès ou dans les places publiques », peut-on lire. « La légitimité de notre action nous est conférée uniquement par l’Islam qui nous oblige à faire de la prédication et de la lutte politique contre les traîtres et les criminels, et non d’un Etat qui s’est vendu au colonisateur […] même si la loi nous permet de tenir notre congrès ».
En effet, Hizb Ettahrir accuse l’Etat tunisien d’être sous les ordres de la Grande-Bretagne et de pratiquer toutes sortes de pressions sur les jeunes du parti et ses membres afin de « saboter leurs actions » et les empêcher d’« appeler à l’islam, et à sauver le monde à travers l’instauration du califat ».
On rappellera que le parti Ettahrir est légalement reconnu par l’Etat tunisien depuis 2012, année de sa légalisation par le gouvernement de Hamadi Jebali. Ce parti se dresse, pourtant, contre les fondements de l’Etat civil et de la Constitution appelant à l’instauration de la chariaa et au rétablissement du califat.
S.T.