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Des protestataires du syndicat des forces de sécurité pénètrent de force l'enceinte de la présidence du gouvernement
25/02/2016 | 11:33
1 min
Des protestataires du syndicat des forces de sécurité pénètrent de force l'enceinte de la présidence du gouvernement

Une manifestation du syndicat national des forces de sécurité intérieure revendiquant des augmentations salariales, a dégénéré ce jeudi 25 février 2016. Se déroulant à la Kasbah la manifestation a rassemblé près de 1000 personnes.

Les protestataires ont pénétré de force l’enceinte protégée du siège de la présidence du gouvernement. Ils ont crié des « dégages » à l’intention du chef du gouvernement et des « Essid espèce de froussard, le policier ne peut être humilié ! ».

M.G



25/02/2016 | 11:33
1 min
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Commentaires (53)

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Léon
| 26-02-2016 13:02
Si vous allez chez le médecin et qu'il vous donne un remède qui aggrave votre cas, vous serez obligés de remettre en cause ou bien le diagnostic du médecin ou bien le remède.
Si vous allez du postulat que le diagnostic du médecin est bon, vous demanderez à ce qu'il vous change de remède.
Et si vous allez du postulat que le remède est un bon remède pour la maladie prescrite vous demanderez à ce qu'il revoit son diagnostic.
Votre postulat, peuple de gueux, est que Ben Ali était mauvais et vous avez demandé comme remède les "compétences" en Tunisie allaient améliorer le pays.
Le pays est dans l'état qu'il est. Alors ou bien votre diagnostic est mauvais, ou bien votre remède est mauvais.
Je vais procéder par l'absurde: Ayant essayé tous les remèdes (droits-de-l'hommistes, islamistes, gauchistes, technocrates et populistes), je vous invite donc à réviser votre postulat de base, à savoir votre diagnostic.
Vosu allez du principe que Ben Ali était mauvais et vous vous trompez sur toute la ligne. Vous avez seulement répondu à vos instincts primaires de peuple haineux, mu de régionalisme et de jalousies diverses, desquelles on ne peut accuser réception, la Tunisie étant UNE et UNIE n'en déplaise aux malades.
À défaut de tels sentiments, vous avez aussi répondu comme des imbéciles à la propagande mondiale qui voulait déchoir Ben Ali, dans le seul but de faire de vous ce que vous êtes devenus aujourd'hui: Un pays sous tutelle.
VIVE BEN ALI, ET À BAS LES TRAITRES!
Léon, Min Joundi Tounis AL Awfiya;
VERSET 112 de la SOURATE des ABEILLES.

Adnène
| 26-02-2016 12:55
Que le syndicat de la police exprime ses revendications est une chose que tout démocrate trouve bénéfique pour le pays, mais que ce syndicat affiche des slogans,critiques les institutions et les hommes politiques ....n'est certainement pas acceptable.

nazou
| 26-02-2016 12:05
Les tunisiens ne vous suivront pas.
Faire tomber ben ali, réussi
Faire tomber la troïka, réussi.
Faire tomber bajbouj,
Vous allez ramer !!
Et vive notre armée républicaine !!!!!

Nady
| 26-02-2016 11:59
Des flics ripoux, ça existe dans tous les pays, sauf que chez nous, ils sont organisés en syndicat, et c'est là que le bât blesse.

Najib
| 26-02-2016 11:30
En pleine crise nationale, des pseudo syndicalistes sécuritaires éhontés mènent une rébellion contre l'Etat qu'ils ont juré de servir avec bravoure et abnégation .
Il faut assainir les forces de l'ordre de ces voyous comme Hamada , Mogaadi et semblables,qui profitent de la complicité des médias de la honte pour troubler le pays .

Sadikien
| 26-02-2016 11:25
Ne prononcez plus le nom de Bourguiba. Parce qu'on ne peut pas être à la fois orphelin de Bourguiba et sbire de Ben Ali.
A moins que vous ne soyez un gueux attitré...

Boulissi
| 26-02-2016 11:15
Là où la clientèle est composée de voyous essentiellement. Les mêmes gesticulations les mêmes tonalités, les mêmes gueules ou presque, la même volonté de défiance, la même aptitude à vouloir casser ...

okba
| 26-02-2016 11:08
le sous développement intellectuel et culturel est pire que le sous développement économique et social. les ignares les profiteurs les égoïstes les hypocrites et les traîtres qui pullulent depuis cinq ans a tous les échelons ainsi que la faiblesse de l Etat et du Gouvernement conduisent inexorablement le pays a la decheance et a l abîme. Et dire que c est l Etat d urgence alors que nous vivons le chaos .non les Tunisiens ne sont pas prêts pour la démocratie il leur faut encore un siècle si toutefois la Tunisie existera encore a cette date comme un Etat

JOHN WAYNE
| 26-02-2016 10:08
Un vent de dignité et de nationalisme souffle sur une Patrie mutilée par des traitres et de opportunistes.
Nous somme à l'aube d'une insurrection nationaliste qui neutralisera les ennemis de la Patrie.
Ces ennemis sont les islamistes, esclaves des sionistes dont ils protègent la terre d'Israël en détruisant le monde Arabe par une barbarie dont les règles se trouvent dans une religion désuète n'ayant jamais vécu de révolution culturelle.
L'Islam est l'ennemi du monde Arabe qu'il a soumis au fanatisme et a l'illogisme depuis des siècles, faisant perdre à des peuples aujourd'hui toujours idiots, l'opportunité de la révolution industrielle et les plongeant dans des colonisations sans fin.
Il y aussi les Tunisiens dégoutants des droits de l'homme aux visages difformes et aux sourires en rictus, qui ont vendu la Patrie pour des limousines de luxe et des villas dans des quartiers chics du pays, et dont les instructeurs sont des agents de la CIA et du Mossad déguisés en écologistes et humanistes.
Sans compter bien sur les expatriés Tunisiens dont les parents ont émigré pour des raisons économiques et qui de leurs quartiers ornés d'ordures et de déchets, maudissaient la Tunisie de Ben Ali qui offrait à ses citoyens une qualité de vie supérieure à celle des Européens de souche. Des Européens de souche confortablement installés dans des vies moyennes incluant des fromages d'où émanent des vapeurs d'orteils a l'hygiène sommaire, des saucissons gras ayant des formes obscènes, des automobiles achetées a crédit, et ce rite désobligeant de s'essuyer le derrière avec du papier et d'en examiner la récolte avant de le jeter au fond de la cuve des toilettes et de tirer la chasse d'eau.
Ces images d'hommes qui défendent la dignité de la Nation me réjouissent. Il s'agit d'hommes qui n'ont comme guide que Bourguiba et Ben Ali et comme principes :
Ordre, liberté, et justice !

F.M. Alias JOHN WAYNE
Ancien Elève au Collège Sadiki.
Diplômé d'Histoire et de Sciences Politiques de l'Université Paris-Sorbonne.
Ancien Fonctionnaire aux Ministères des Affaires Etrangères et de l'Intérieur Tunisiens des gouvernements d'Habib Bourguiba et de Zine El Abidine Ben Ali.
Diplomate de carrière et spécialiste de la sécurité et du renseignement.

Léon
| 26-02-2016 09:23
@conquérant: Bien dit! Sauf que les gens qui y voyaient clair dès le départ se sont abstenus de crier "Dégage" à Ben Ali pensant que l'état était bien plus important que les quatre chaussettes et les deux chaussures de Mme Ben Ali. On nous a traités de azlem, d'orphelins de Ben Ali et de tous les noms. Ces chaussures si fièrement brandies par une bonniche potentielle (qui fut votre ministre) nommée Sihem Badi qui a prouvé que le but de sa révolution était de mettre la main sur les quatre chaussettes et les trois chaussures de Leïla Ben Ali. Un sentiment de vengeance que ne s'est même pas permis le valeureux Imam Khomeini après avoir démis le Shah.
La Facture du caprice de cette ministre de la bonne est quand même assez conséquente. Le caca nerveux de ce type de personnes (comme S.Bagga qui a dit publiquement qu'il s'était mis un point d'honneur à se venger de Leila), est très lourde et je pense même qu'elle est à l'origine de la mise en demeure de la Tunisie sous forme protectorat économique (comme en 1881) des puissances occidentales.
Voilà les conséquences des cacas nerveux de ce peuple de gâtés et d'assistés, arrivés jusqu'à la trahison collective.
Conclusion: Les responsables sont ceux qui ont crié "dégage", donc les 90% du peuple ignare à diplômes.
@Anis: Les gens que tu cites sont ceux qui ont initié et encouragé la pratique excessive des droits de l'homme et du syndicalisme. Je n'ai rien contre, sinon que c'est à toi et à tes protégés de savoir ce que vous voulez et non pas aux autres.
Léon, Min Joundi Tounis Al Awfiya,
VERSET 112 de la SOURATE des ABEILLES,
VERSET 112 de la SOURATE des ABEILLES,
VERSET 112 de la SOURATE des ABEILLES.