| 10-06-2019 11:48
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Décès d'un vendeur ambulant à Bouhajla : précisions du ministère de l'Intérieur
Suite au décès d’un vendeur ambulant, le ministère de l’Intérieur a donné des éclaircissements concernant cette affaire ayant suscité l’intérêt des internautes sur les réseaux sociaux durant ses dernières 24 heures.
Le département informe, dans un communiqué publié ce dimanche 9 juin 2019, que l’homme avait été conduit au poste de police pour non-conformité d’une décision émanant du conseil municipal de Bouhajla. Celui-ci étalait illégalement sa marchandise dans le marché municipal de cette région.
Lors de son interrogatoire, le suspect, souffrant de problèmes cardiaques, avait fait un malaise et avait été transféré en urgence à l’hôpital régional d’Ibn Jazar pour recevoir les soins nécessaires. Il a cependant rendu l’âme en route, précise le ministère.
Arrivés sur place, le juge d’instruction du tribunal de 1ère instance de Kairouan et le substitut du procureur de la République ont interrogé les témoins de cette affaire, inspecté le lieu de l’incident et visionné les caméras de surveillance.
E.B.A.
Commentaires (5)
Commenter@houcine
| 10-06-2019 10:24
Sans ordre, aucun développement n'est possible et la pauvreté s'aggrave avec le désordre.
paix à son âme...
| 10-06-2019 09:24
Mais surtout ne faites pas de lui un 2ème Bouazizi.
Combattre la pauvreté
| 09-06-2019 20:36
Un pauvre hère qui bricole pour subvenir à ses besoins élémentaires décède suite à son interpellation. Une affaire très ordinaire, en somme.
La grouille de voir "cette affaire" suivie de protestations suscite un communiqué.
La pauvreté est le fléau à combattre, pas les pauvres. Or, comme toujours, le pouvoir peine à se remettre en cause, j'interroge pas les effets de sa politique, ce qui le motive c'est le seul maintien de l'ordre.
Un homme est mort... parce qu'il était cardiaque. Pas un mot sur les éventuelles responsabilités et la manière dont il a été traité par les agents du pouvoir, la police.
La grouille de voir "cette affaire" suivie de protestations suscite un communiqué.
La pauvreté est le fléau à combattre, pas les pauvres. Or, comme toujours, le pouvoir peine à se remettre en cause, j'interroge pas les effets de sa politique, ce qui le motive c'est le seul maintien de l'ordre.
Un homme est mort... parce qu'il était cardiaque. Pas un mot sur les éventuelles responsabilités et la manière dont il a été traité par les agents du pouvoir, la police.
Mzis je crois savoir...
| 09-06-2019 20:20
Que la présence dun avocat est obligatoire
Aucun mot sur ce point même le juge d'instruction a omis de ...
Bon allah yarham le défunt!
Aucun mot sur ce point même le juge d'instruction a omis de ...
Bon allah yarham le défunt!
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