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Clash entre Néji Jalloul et Ahmed Rahmouni, le ministre quitte le plateau d'Al Yawm Athamen
11/02/2016 | 23:41
1 min
Clash entre Néji Jalloul et Ahmed Rahmouni, le ministre quitte le plateau d'Al Yawm Athamen

 

Une altercation a eu lieu, dans la soirée du 11 février 2016, entre le président de l’Observatoire tunisien de l’indépendance de la magistrature, Ahmed Rahmouni et le ministre de l’Education nationale, Néji Jalloul, sur le plateau de Hamza Belloumi sur El Hiwar Ettounsi.

 

Néji Jalloul  a accusé le magistrat Rahmouni d’être l’avocat des terroristes alors que les forces militaires donnent leurs vies dans les montagnes qualifiant ce comportement d’irrespectueux. Ahmed Rahmouni a alors répondu au ministre qu’il était lui-même insolent le poussant ainsi à quitter le plateau.

 

M.B.Z


11/02/2016 | 23:41
1 min
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Commentaires (76)

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KARIM
| 14-02-2016 10:23
A voir la scène, on dirait que rahmouni essaie de mettre ses doigts dans les yeux du ministre.
Hallucinant, une scène digne d'un combat de coqs.

Laroui
| 14-02-2016 09:59
Ce magistrat, auto proclamé président de l'observatoire de l'"indépendance de la justice", se permet de se mêler d'affaires pendantes devant la justice et estime que les autres n'ont pas le droit de faire la critique de ce qui se passe au sein de l'appareil judiciaire.
N'a-t-il pas fait qu'interférer dans les affaires de justice en exerçant, depuis cinq ans, ses pressions à l'encontre de ses collègues magistrats des tribunaux militaires, administratifs et judiciaires chaque fois qu'une décision de justice est jugée, par sa majesté, contraire à l'esprit de la révolution des gueux dont il est l'émanation.
S'était-il demandé, serait-ce un moment, si la présidence de cet « observatoire de l'ingérence dans les affaires de justice » est compatible avec ses fonctions de magistrat.
M.RAHMOUNI seriez- vous comme le chameau qui ne voit pas sa bosse ?

abouiyed
| 13-02-2016 21:30
A vrai dire Mr le Juge votre place n'est pas sur le plateau d'un Tv, il est plutôt consignée dans votre bureau pour traiter les piliers de dossiers des terroristes qui vous a été confiés. Votre devoir vous oblige strictement de ne pas entraver ces travaux de justices qui sont menés aussi par d'autres confrères à vous qui fouillent jours et nuit en silence.Votre cahier de charge professionnel ne vous permet non plus de donner des points de vu judiciaires avant de clore les dossiers dont vous êtes chargez préalablement de délivrer des jugements. Venir sur un plateau et parlez publiquement pour dénigrer et accuser les fores publiques de pratiquer la torture sur des sujets proclamés ennemis de toute l'humanité c'est plus que troublant. Par votre statut vous êtes un juge placé à égale distance de tout les justiciables et non pas partisan d'une frange d'individus quelconques. En Tunisie à un moment crucial ou la paix sociale est exclusivement menacé par des bandes sanguinaires hors la loi qui a mis l'économie du pays en exsangue et a anéanti des centaines de familles dans plusieurs secteurs et qui a semé la terreur à travers tout le pays, votre compassion Mr le juge avec ces criminels passe de tout commentaire. La violation de secret professionnel dont vous êtes responsable justifie tout simplement votre limogeage par juste motif. Ce genre d'outrage professionnel dans le domaine de justice commis par un juge est en soit considéré une haute trahison qualifiée qui tombe sous le joug de la loi dans plusieurs pays démocratiques. Êtes-vous Mr le juge non justiciable et au dessus de la loi ? Que la justice soit saisie immédiatement pour mettre fin à cette frénésie de comportement tragique qui envoute ce genre de personne en quête de pouvoir même au prix de la haute trahison.

Citoyen_H
| 13-02-2016 20:26
Il y a quelque chose de pourri dans le royaume du Danemark.
Persistons dans notre sommeil, jusqu'au jour ou ce sera trop tard.


http://www.tunisie-secret.com/Ahmed-Rahmouni-le-magistrat-Daechien-en-costume-cravate-_a1510.html

1/raisonnable
| 13-02-2016 18:51
Grâce à BCS qui donné des ailes aux islamistes pour épargner et infiltrer leurs terroristes dans tous les domaines des l'Etat ,pour être blanchi de tous ceux qui ont fait et occasionné comme dégâts dans les pays.

Lajdnef
| 13-02-2016 17:37
Monsieur Naji jaloul, vous m'avez enlevé une épine du pieds en remettant de névrosé à sa place.
Le fait que vous ayez refusé de rester sur le même plateau que RAHMOUNI,***, alors que des soldats et des agents de sécurités sont sur le champ de bataille contre des forces obscurantistes, est tout en votre honneur et humainement et politiquement et vous n'en sortirez que grandis.
Monsieur HABIB ESSID devrait, à mon sens, vous nommer à la tête du ministère de la justice car ce qu'il faut à ce ministère c'est un politique qui remette les pendules à l'heure.

Amor
| 13-02-2016 17:03
Les pseudo-révolutionnaires avaient décrié, au lendemain du 14/01/2011, le système de répartition des pouvoirs entre exécutif et pouvoir judiciaire, et appelaient, par naïveté politique, pour certains théoriciens du droit, et par méconnaissance des contraintes de l'exercice du pouvoir politique, pour bien d'autres, à ce que le pouvoir exécutif cède certaines de ses prérogatives au profit du pouvoir judiciaire allant jusqu'à appeler à ce que :
-l'action publique n'appartienne plus à l'État et soit laissée entre les mains des magistrats du parquet, qui n'obéiraient plus au pouvoir hiérarchique du ministre de la justice, et par suite au pouvoir politique seul à même d'arrêter et de mettre en 'uvre, par le biais de ce corps hiérarchisé, qu'est le parquet, la politique du gouvernement en matière judiciaire, dans toutes ses acceptions économique, commerciale, civile et notamment pénale,
-l'inspection du ministère de la justice, avec pour conséquences que le déclenchement de l'action disciplinaire contre les magistrats soit, désormais, de l'apanage d'un conseil supérieur de la magistrature, composé uniquement de magistrats, sans aucun garde-fou, faisant que le justiciable Tunisien, serait-il ELCHAHID CHOKRI BELAID, ne pourrait prétendre à ce qu'on le protège contre toute forme d'abus commis par des juges qui seraient enclin à se donner raison les uns les autres, les loups ne se mangeant pas , par définition, entre eux.
Résultat de cet état de fait, les magistrats étaient, depuis le 14/01/2011, et les listes de magistrats démis, indument, de leurs fonctions, sous la coupe de l'AMT qui n'a eu de cesse d'exercer, tout autant que l'observatoire des "interférences dans les affaires de justice", avec à sa tête Rahmouni & Co, toutes les pressions possibles et imaginables sur les magistrats de l'ordre judiciaire, de l'ordre administratif et du tribunal militaire chaque fois des décisions de justice avaient donné gain de cause à des cadres sécuritaires, à des ministres ou à des hauts cadres de l'État de l'ancien régime, dotés de la qualité de citoyen Tunisien et de justiciable dont le droit à un procès équitable serait semble-t-il sans intérêt pour ces corporations.
L'instance provisoire composée de magistrats sans expérience de la chose publique et sans conscience des enjeux de cette bataille, n'ont pas levé le petit doigt pour rappeler les magistrats, transformés en politiques, à l'ordre, ne leur avait intimé de respecter l'obligation de réserve à laquelle ils sont soumis et n'a pas 'uvré à la consécration du principe de neutralité des magistrats, notion plus large que celle de l'indépendance, sans laquelle cette indépendance serait transformée en dictature ou plutôt en corps hors la loi.
Conséquences de cet état de fait, un tel spectacle, désolant, digne des républiques bananières.

Ben
| 13-02-2016 16:37
RAHMOUNI a été érigé, après le 14/01/2011, en icône du militantisme contre l'ancien régime, et sera utilisé, par certains milieux, pour dresser des listes démettant les meilleurs magistrats du pays de leurs fonctions.
Moi, en tant qu'avocat, je me rappelle:
-du contenu des communiqués de l'association des magistrats tunisiens, à chaque congrès et à chaque réunion du bureau de l'AMT, rendant hommage au président Ben Ali pour toutes les réalisations faites au profit des magistrats, de la magistrature et des justiciables et la mise en valeur des nouvelles lois adoptées pour la promotion des droits de l'Homme en Tunisie,
-de membres du bureau de l'AMT faisant la queue à la salle des pas perdus du tribunal de première instance de Tunis, aux fins d'avoir l'honneur de serrer la main de Ben Ali,
-des querelles entre les membres de l'AMT et d'autres associations quant à l'emplacement réservé à chacun d'entre elles, chacune voulant s'arroger la tribune la plus proche du président,
Sachant que l'AMT fonctionnait grâce aux subventions de la présidence et les lettres de remerciements adresser au président de la république sont là pour édifier le public quant au militantisme de « Rahmouni & co ».

arsène
| 13-02-2016 13:55
Qui est Rahmouni ?
Pourquoi aucun journaliste n'a jamais osé posé la question cruciale s'agissant du passé militant du sieur Ahmed Rahmouni et de ses acolytes ? Je considère ce fait comme une grande imposture à l'endroit de la mémoire collective nationale. Or, je vous dirais qu'il était, avant le 14 juillet 2011, tout juste un petit juge au Tribunal immobilier de Tunis, muté à Mahdia bien sûr comme tout un chacun, où il faut avouer bon vivre. Cette mutation, il en fit son fonds de commerce. Sa femme, la fameuse Leila Abid, aujourd'hui charg" des séquestrations,était également magistrate insignifiante, proche des milieux d'opposition au régime du Président Ben Ali. Sa femme fut aussi mutée à Kairouan, mais après moins d'une année, elle rejoignit à son tour son mari à Mahdia, ville côtière superbe où il fait bon vivre (brise marine et poissons à gogo ). Après, le 14 janvier de la maudite année 2011, il devient une des"icônes" de la révolution bouazizienne s'agissant du secteur judiciaire que plusieurs parties occultes entendaient fragiliser en premier. Son passé militant, il le doit à son appartenance à l'AMT, qui regroupait des "soit-disants" opposants au régime, mais dont les revendications sont exclusivement pécuniaires. Il n'en a jamais été question de soit disant" indépendance de la justice' ou quoi que ce soit, constituait au temps de Ben Ali, encore "un refuge ou un No Mans lands" pour opposants. Encensé par les détracteurs de Ben Ali et adulé par ses partisans

idem
| 13-02-2016 13:02
il suffisait que ce ministre de l'Education argumente en disant simplement qu'il n'est pas chargé de la sécurité..LUI...au lieu de ça il hurle en quittant le plateau...le juge hurle à son tour..bref c'est une scène guignolesque...en Europe on pense tous la même chose: le blédard apprend la democratie avec bcp de mal, certains animaux dans la nature se débrouillent mieux que vous! pourquoi essayer de prendre exemple sur nous?? oubliez la pyramide de Mashlow , la théorie des organisations et le management, l'économie moderne...on vous en demande pas tant. prenez exemple sur la nature, construisez votre société en calquant l'organisation des fourmis ou des abeilles. 100ans dans l'eau ne font pas d'un bout de bois, un crocodile. vous ne serez jamais des français, des allemands ou des suisses.