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Choisir le 6 février comme une journée nationale de lutte contre le terrorisme, BCE appuie l'idée
06/02/2016 | 11:41
1 min
Choisir le 6 février comme une journée nationale de lutte contre le terrorisme, BCE appuie l'idée

Le président de la République, Béji Caïd Essebsi, a réitéré, ce samedi 6 février 2016 à l’occasion de la troisième commémoration de l’assassinat de Chokri Belaïd, son engagement à faire la lumière sur ladite affaire.

 

Le chef de l’Etat a exprimé son soutien à l’idée que le 6 février, date de l’assassinat de Chokri Belaïd, soit une journée nationale de lutte contre le terrorisme. Il a par ailleurs appelé les Tunisiens à s’unir pour combattre le terrorisme et à défendre les valeurs de liberté et de dignité pour lesquelles le martyr a milité.

 

E.Z.

06/02/2016 | 11:41
1 min
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Commentaires (9)

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TunObserver
| 08-02-2016 10:07
Mr. Le président j'attends encore la réalisation de votre promesse électorale de faire toute la lumière sur les assassinats du " marhoum " Chokri Belaïd et du " Marhoum " Mohamed Brahmi . Je ne voudrai pas dire que c'est une fausse promesse , mais elle y ressemble en tout cas , parce que vous n'avez rien fait jusqu'ici et je ne pense pas que vous ferez quelque chose dans le futur . Alors faire de la journée du 6 Février une journée de lutte contre le Terrorisme , n'est ni plus ni moins qu'un leurre de plus . D'ailleurs une journée de lutte contre le terrorisme n'a aucun sens , parce que c'est toutes les journées qu'il faut lutter contre le terrorisme , ce type de déclaration entre seulement dans le domaine de la démagogie .

Abel Chater
| 07-02-2016 13:19
Un politicien gagne une fortune au sein du parlement et jouit d'une myriade de privilèges, jusqu'à l'énorme avantage de l'immunité parlementaire. Des avantages qu'il paie les gens pour les acquérir une fois élu au parlement. La grande fête est tenue pour sa réussite et le deuil s'installe lors de sa défaite. Sous la coupole d'un parlement chauffé l'hiver et climatisé l'été, il s'assoit sur un fauteuil des plus confortables pour faire l'intéressant à la manière de Brahim Gassas & Co., nourriture, voiture et tout le luxe y est à sa portée.
Un soldat, un policier, un gendarme ou un douanier gagnent un salaire de misère, sans le moindre avantage que de monter gratuitement dans les moyens de transport public. Ils se tiennent dans le climat pollué de la rue, sous un soleil ardent et des pluies torrentielles. Le devoir c'est le devoir nous disent-ils avec fierté et patriotisme. Il leur arrive de ne pas ôter leurs brodequins plus d'une semaine à la file. Leurs familles ne les reconnaissent pas, à cause de ces casse-croutes «keftéji», qui les font maigrir plutôt que nourrir. Ils nourrissent toute une famille par le peu d'argent qu'ils gagnent. Malgré tout, leurs familles sont perdues sans leur soutien.
Un seul ou deux de ces politiciens sont assassinés par des terroristes. Tout y est à leur honneur de Martyrs de la Tunisie jusqu'à hériter leur place au parlement à leur veuve et tous les avantages y afférents, jusqu'à faire vivre leurs descendant dans le coton et de la soie. Les médias les pleurent à la «nawaha» et leurs proches deviennent plus connus et plus célèbres que les Martyrs eux-mêmes.
Plusieurs dizaines de soldats, de policiers, de gendarmes et de douaniers sont assassinés par des terroristes. Hormis l'enterrement solennel dû à leur honneur et quelques «Allah yarhamou» de routine, personne n'en parle plus d'eux. Leurs familles se perdent dans la misère et les médias ne parlent désormais que de leur devoir, sans jamais évoquer leurs droits et les droits de leurs familles.
Maintenant, où est la faute et pourquoi lorsqu'on attire l'attention au sujet de cette énorme et impardonnable iniquité, on devient mauvais chez les baratineurs?
Le président Béji Caïd Essebsi manque-t-il d'intelligence, pour leur dire que tous les Martyrs de la Tunisie sont à égalité devant la loi de la Tunisie, devant la loi terrestre et divine et devant tous les Tunisiens, ou est-ce qu'il y a des chaises en plastique, des strapontins et des fauteuils luxueux dans le Paradis de l'Au-delà?
Et qu'est-ce qu'on va faire avec la fête des Martyrs du 09 avril 1938, doit-on l'abolir et la remplacer par la fête de Chokri Belaïd du 06 février 2013?
De telles idées dévastatrices entraînées par l'égoïsme individuel, ne feront que détruire davantage l'union de notre peuple au profit des ennemis de la Tunisie.
Honni soit qui mal y pense.

waf-waf
| 06-02-2016 22:06
Les endroits ou vivent les arabes tunisiens, algériens marocains ect ect dans les villes d Europe, son 1000 fois plus crasseuses dans tout les sens, dedans dehors en haut en bas et aux alentours , cette maison sur cette photo est très très propre. Certain refuse leur reflet dans le miroir...

Fadi
| 06-02-2016 18:58
Partout, c'est la décadence de la Tunisie.
C'est déshonorant, pour les martyrs.

Mohamed
| 06-02-2016 16:03
Maintenant que BCE appuie cette proposition, le FP n'en voudra plus! Même s'il en est l'initiateur! Les seigneurs grandissimes militants du FP n'accepteront pas de se rabaisser au niveau d'un simple BCE ou tout autre. Le parti avant la patrie. Célèbre adage du FP... Espoir déçu!

waf-waf
| 06-02-2016 15:15
Et pourquoi pas la journée du djihadiste aussi, n importe quoi? BCE perd le nord a force de faire plaisir à nos ennemis l'islam politique du gourou de Montplaisir. , BCE a quand une journée pour la corruption et la connerie humaine, il y a une énorme manne au Tunistan

ourwa
| 06-02-2016 14:01
L'on ne peut que demeurer admiratif face à cette charge contre le Front populaire...qui n'est en fait qu'une diarrhée verbale chargée de haine envers le F.P. "Le front, toutes composantes confondues, et ses symboles sont les premiers responsables de l'état de pourrissement sécuritaire que connait le pays,etc..." dites-vous. Comment? Dieu seul le sait...ou alors les preuves sont tellement nombreuses que vous n'osez pas les publier sur ce forum?!
Encore mieux:" N'est-il pas bien curieux, monsieur les gens du front, que vous avez été, avec vos acolytes, parmi les membres de certaines associations et corporations, le fer de lance de la destruction des structures de l'État et de la ruine du pays." Comment et avec quels acolytes? Mystère et boule de gomme... Allez savoir!
Sacré pays! C'est fou ce que le Front populaire, tout comme l'UGTT, suscitent autant de ressentiment et de haine, se trouvent accablés d'autant de crimes...Quant à connaitre les preuves de ces crimes, on peut toujours attendre...Ce qui est paradoxal dans ce foutu pays, c'est que les seules organisations dont les programmes correspondent aux revendications des révoltés de 2010-2011, c-à-d l'UGTT et le F.P. focalisent le plus de haine et de critique...Constituent-ils encore un réel danger envers un Etat soit disant post révolutionnaire et qui n'est en réalité que la réminiscence de l'ancien régime?Probablement.
Cher Lajdnef, quand on n'a rien à dire, vaut mieux se taire.

A4
| 06-02-2016 12:40
DEGAGE !
Ecrit par A4 - Tunis, le 31 janvier 2014

Arrogants, ils se croyaient vainqueurs
Incompétents, les voilà vaincus
Ils ont fini, mais avec lenteur
Par être presque enfin convaincus
Que l'on ne peut être à la hauteur
Quand on a la haine comme seul vécu

Frustrés, ne voyant plus les limites
Affamés et jamais rassasiés
Ils ont tenté mais sans réussite
Une greffe bizarre de vieux chameliers
D'un chardon sec, une plante maudite
Sur notre vert rameau d'olivier

Sanguinaires, ils n'ont fait que du mal
Stupides, ils voulaient se faire un nom
Guidés par un vil instinct bestial
Ils ont envoyé leurs gorillons
Descendre dans le froid matinal
L'ami moustachu au c'ur de lion

Qu'espéraient-ils, ces haineux bipèdes
Ces ignorants atteints de myopie
Que l'aigle royal de nos pinèdes
De nos hirondelles et chants de pies
Tombe amoureux de leur guenon laide
Ses feuilles mortes et eaux croupies ?

Qu'espéraient-ils, j'aimerais savoir
Que l'on me dise en toute clarté
Comment ces ignares aux idées noires
Vantant la mort en déchiqueté
Peuvent-ils parler à l'auditoire
De liberté ou de dignité ?

Voilà qu'ils s'en vont, qu'ils quittent la scène
Nous voilà épuisés mais vainqueurs
Les voilà partis, c'urs pleins de haine
Comme partent les chiens aboyeurs
En traînant leur gourou, sa bedaine
Et son titre de roi des tueurs !

Lajdnef
| 06-02-2016 12:21
Le front, toutes composantes confondues, et ses symboles sont les premiers responsables de l'état de pourrissement sécuritaire que connait le pays, et ont été, de même, les premiers à en payer le prix, tant à travers l'assassinat de leurs leaders que de par le camouflet électoral qu'ils ont subi, HAMMA, en premier.
N'est-il pas bien curieux, monsieur les gens du front, que vous avez été, avec vos acolytes, parmi les membres de certaines associations et corporations, le fer de lance de la destruction des structures de l'État et de la ruine du pays.
N'est 'il pas curieux que les hommes qui avaient lutté, bec et ongles, contre ce phénomène eut été, après le 14/01/2011, pris à parti, harcelés, démis de leurs fonctions, voire même emprisonnés et que des terroristes, des plus dangereux, furent libérés, réintégrés dans des postes, des plus sensibles, voire installés à la tête de l'État comme ce fût le cas de JEBALI et bien d'autres.
Résultat, l'installation du terrorisme ayant acquis, désormais, droit de cité en Tunisie et l'assassinat de nos soldats et agents de l'ordre, sans oublier l'apparition du phénomène de l'assassinat politique avec son lot de menaces guettant des dizaines de personnalités, parmi l'élite Tunisienne, acculées à se terrer chez eux, à éviter tout déplacement inconsidéré et à le faire, le cas échéant, sous protection rapprochée au risque de rendre l'âme des mains même de ceux qu'ils avaient défendus les faisant bénéficier d'une mesure d' amnistie générale démesurée dont on connait, aujourd'hui, les conséquences bien fâcheuses sur la situation sécuritaire et économique du pays.