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Borhen Bsaies : Jarraya est mon ami et ce n'est pas aujourd'hui que je vais le renier !
29/05/2017 | 16:12
1 min
Borhen Bsaies : Jarraya est mon ami et ce n'est pas aujourd'hui que je vais le renier !

 

« Chafik Jarraya est mon ami et ce n’est pas aujourd’hui que je vais le renier ! », a affirmé, ce lundi 29 mai 2017, Borhen Bsaies, chargé des affaires politiques de Nidaa Tounes.

Il a ajouté, dans une intervention sur Shems Fm, que la boule de neige et « l’hystérie », suscitées par l’arrestation du lobbyiste et homme d’affaires, entrent dans une campagne « qui n’a rien à avoir avec la lutte contre la corruption mais qui a pour unique but de porter atteinte à Nidaa Tounes ».

 

« Cette campagne a rassemblé de nombreux vautours qui y cherchent tous un moyen d’en tirer profit, et puis on sait tous que l’instinct vindicatif est omniprésent chez l’homme et qu’on aime tant l’agora romaine où une victime est jetée en pâture au public assoiffé de sang.

Nous soutenons officiellement la campagne anti-corruption mais nous avons un problème avec tout le chahut que cela provoque, comme les réactions populistes de certains députés qui appellent à lever leur immunité alors que l’immunité n’a jamais été levée sur demande des députés » a précisé Borhen Bsaies.

 

Il a confié, par ailleurs, qu’il savait depuis des mois que  Chafik Jarraya était observé et craignait des poursuites, que celui-ci « avait été prévenu par des amis » et qu’il est trop tôt encore pour le déclarer coupable de quoique ce soit, tant que la justice n’a rendu aucun verdict.

 

M.B.Z

29/05/2017 | 16:12
1 min
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Commentaires (22)

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Lefghoun
| 30-05-2017 13:24
le proverbe dit bien, dis moi qui tu frequentes, je te dirai qui tu es - ou qui s'assemblent se ressemblent.
borhane avec sa figure de .....

Abel Chater
| 30-05-2017 12:54
Tout le monde connaît la culture de "lèche-bottes" de ce "Zalèm" de l'ancien régime déchu de Ben Ali, Borhèn Bsaïes. Sauf que lui-même ne se réveille pas encore de son ivresse et n'arrive pas encore à réaliser qu'il n'est qu'un hautparleur de mauvaise qualité, que les fêtards le louent pour leur faire passer des intentions à majorité «mauvaises et puantes».
Croire que le dictateur déchu Ben Ali était son ami, que les «Trabelsia de Layla» étaient ses amis ou prétendre que Chafik Jarraya est son ami, n'illustre vraiment que la débilité flagrante de ce baratineur Borhèn Bsaïes.
Les pions grenouilles que les lions utilisent pour chasser les mouches autour d'eux, prétendent être les amis de ces lions, jusqu'à ce qu'ils soient piétinés comme le fut Borhèn Bsaïes après le 14 janvier 2011, lorsqu'il se cachait du peuple tunisien comme le Bossu de Notre Dame se cachait du public.
Une débilité qui démontre la nullité de ces « blablaistes ».
Je parie mille parts contre une seule, que Borhèn Bsaïes ne trouve plus sommeil depuis l'arrestation de Chafik Jarraya et qu'il tremble à chaque sonnerie de sa porte d'entrée. Maintenant, il essaie de faire passer un message à Chafik Jarraya par ce discours de basse facture. Un message qui ne l'aidera en rien.

URMAX
| 30-05-2017 12:41
...
Elles seront remplacées par des charrues tirées par des ânes !
...
URMAX

bahbouh
| 30-05-2017 10:06
Ce minable est fier d'afficher ses amities aux vautours, dictateurs, suceurs de sang, voleurs , crapules de toutes sortes, magouilleurs, recherches par la justice...
Quel bel exemple pour ses enfants ... Cest malheureux

Givago
| 30-05-2017 09:30
On s'en fout de vos gesticulations et de votre amitié avec jraya,nous ce qu'on veut c'est de vous dégager du système politique et pour toujours en 2019.

charfoun
| 30-05-2017 08:34
Il confond ami et employeur

Lilliri
| 30-05-2017 08:17
Bravo
C est la consequence normale de l impunite
Comme le disait le velebre abou awa
L extreme intelligznce ????
C faire la meme chose et s attendre a un resultat different

Stouko
| 30-05-2017 06:57
Ce vil personnage veut prendre les tunisiens pour des chèvres. Il doit, certainement, espérer aussi les caresser, un à un, dans le sens du polil, les enlacer puis les embrasser sur le front pour leur montrer qu'il les adore.
Passé ce cap, il ne lui reste bien entendu qu'une seule étape à accomplir ; celle de leur prouver que son parrain est plus blanc que le blanc lui-même !

- tu connais le blanc toi ?
- le blanc d'oeuf ?
- oui !
- pouaaah !!!

MFH
| 30-05-2017 02:31
Généralement, l'amitié se construit petit à petit petit, pierre par pierre, entre deux personnes ayant un dénominateur commun qui les fait s'accorder sur presque toutes les situations. C'est ainsi qu'une amitié entre un homme faased (corrompu) et un autre honnête et droit ne peut être qualifiée d'amitié. C'est une connaissance qui ne comporte pas de sentiments, c'est tout. Le mal et le bien ne vont pas ensemble. Le mal va avec le mal et le bien avec le bien. Mr Bsaies vous ne pouvez pas être l'un et l'autre en même temps. Et si vous insistez sur ce point précis, vous êtes alors très dangereux pour le parti et pour le pays.

L'insulaire
| 30-05-2017 01:50
Ah,le renier,certainement pas.C'est clair,net et precis.
Par contre,le suivre et lui tenir compagnie,alors la,c'est l'avenir qui nous le dira...!
Comme le dit bien notre tres cher proverbe tunisien:"Dar Khaltou".