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Apprêtez-vous à payer pour les terroristes amnistiés et les criminels récidivistes !
Par Nizar Bahloul
19/11/2018 | 15:59
9 min
Apprêtez-vous à payer pour les terroristes amnistiés et les criminels récidivistes !

 

Par Nizar Bahloul

 

Le remaniement a eu lieu, le 3ème gouvernement de Youssef Chahed est passé en dépit de toutes les critiques ennemies, de toutes les attaques fratricides et de toutes les ignominies des opposants qu’ils soient malades et aigris ou de bonne foi.

Béji Caïd Essebsi peut aller se reposer, relire la Constitution et voir ce qu’il peut faire de bon avec les prérogatives dont il dispose. Il pourrait, par exemple, consacrer son temps et user du même « machiavélisme » utilisé contre Youssef Chahed pour faire passer les propositions de la Colibe. Il pourrait aussi réfléchir, avant de partir, à une nouvelle constitution plus conforme à la société et la culture tunisiennes, puisqu’il est établi maintenant que celle-ci est mauvaise. Il pourrait également user de son « machiavélisme » de 2012-2014 pour tenir ses promesses électorales et éliminer définitivement les islamistes du pouvoir politique. Leur diabolisme, leur unité et leur projet  sont cent fois plus dangereux que Habib Essid et Youssef Chahed réunis.

En attendant, le président de la République ne semble pas du tout dans cette optique. Ses deux dernières recrues ne présagent pas beaucoup de bon, puisqu’il s’agit de jeunes exécutants de viles politiques d’attaques sur les réseaux sociaux à travers des pages et profils anonymes. La différence entre Seïf Chaâlali et Moez Hrizi d’un côté et Edyb Jebali et Amina Mansour de l’autre est assez infime. Les premiers sont juste plus polis et mieux élevés que les seconds.

 

Maintenant que le remaniement a été opéré, peut-on sérieusement revenir au travail et réfléchir à l’avenir de la Tunisie ? On a tellement perdu de temps à nous combattre les uns les autres qu’on a oublié l’essentiel : comment générer de la croissance pour ce pays !

La réponse est hélas négative, car en dépit de son absolue priorité, cette question est éludée à cause des bombes à retardement qui s’apprêtent à exploser sur nos « gueules » dans les prochains jours. On ne va s’occuper ni de croissance pour le moment, ni d’inflation, ni d’emploi, ni de culture, ni de Loi de finances, ni des lois anticonstitutionnelles qui régissent encore la cité.

Au moins trois bombes à retardement laissées par la troïka de 2011-2014 nous attendent et on doit les désamorcer dans les plus brefs délais. Le drame est que personne ne sait comment ce désamorçage pourrait avoir lieu. On n’a ni la solution, ni le mode d’emploi.

 

La première de ces bombes est celle de Lassâad Yaâcoubi, secrétaire général de l’enseignement secondaire qui s’apprête à répéter son manège de l’année scolaire 2017-2018. Il a pris en otage nos élèves, il a retenu les notes des examens, il a imposé une grève de plusieurs jours et a causé d’énormes préjudices aussi bien aux élèves et leurs parents qu’aux enseignants eux-mêmes. On ne compte plus le nombre de parents qui ont fait sortir leurs enfants du système scolaire public gratuit pour les placer dans le système privé onéreux, juste pour les préserver des jours de grève et pouvoir les encadrer comme il se doit. On ne compte pas, non plus, le nombre d’enseignants dégoûtés, qui ont jeté l’éponge et ont choisi d’aller prendre une retraite anticipée.

Que s’est-il passé après tous ces préjudices ? Rien ! Lassâad Yaâcoubi et son équipe ont bénéficié d’une impunité totale. On ne leur a même pas retenu les jours de grève de leurs salaires. On n’a absolument rien fait pour les enseignants qui ont terrifié leurs collègues qui voulaient casser la grève. On n’a rien fait pour assurer la sécurité et le droit des enseignants non grévistes !

Face à l’impunité, Lassâad Yaâcoubi ne pouvait que rempiler dans son manège pour une nouvelle saison pire que la précédente et que les enfants, parents et enseignants opposants aillent au diable ! L’essentiel est que ses complices et lui obtiennent gain de cause et prennent leur revanche. Jusqu’à quand cette créature de l’ancien ministre de l’Education de la troïka, le nationaliste extrémiste Salem Labiadh, continuera-t-elle à porter préjudice à l’Enseignement et à l’Etat ? Si l’on veut rétablir le prestige de l’Etat (une promesse électorale oubliée de Béji Caïd Essebsi), Lassâad Yaâcoubi ne doit plus exister dans le paysage syndicalo-politique !

 

La deuxième bombe à retardement va nous coûter quelque 1,2 milliard de dinars que l’Etat va devoir provisionner immédiatement dans son actuelle Loi de finances. Cette bombe date des années 1980 et porte le nom de la Banque franco-tunisienne. Un litige complexe qui n’a pas pu trouver de solution sous Bourguiba et sous Ben Ali. Un bras de fer entre Abdelmajid Bouden  et l’Etat, qualifié sur le tard du plus gros scandale de corruption de l’Etat. Ce problème complexe entre Tunisiens aurait pu trouver une solution juste et équitable au lendemain de la révolution, sans préjudice pour les deux parties, mais c’était sans compter l’intervention de Salim Ben Hamidène, ancien ministre des Domaines de l’Etat. C’est principalement à cause de lui que l’on est arrivé à une impasse et que l’Etat va devoir payer cette indemnisation astronomique équivalente au budget de quelques ministères et à 3 % du budget de l’Etat.

Salim Ben Hamidène, actuel dirigeant du parti Irada, un des opposants aigris cités précédemment, figure parmi les plus proches personnalités d’Ennahdha. C’est même un secret de Polichinelle que de dire qu’il est la taupe des islamistes dans le parti de Moncef Marzouki. Dans cette affaire, il a toujours joué les Sainte-Nitouche, la victime de la cabale juridico-politico-médiatique, le pauvre patriote qu’on veut abattre. Sauf que la réalité est différente comme ont pu le constater plusieurs magistrats de différentes juridictions. Il a beau accuser les médias (qui n’ont fait que leur travail) d’être des menteurs à la solde du pouvoir, il a beau injurier matin, midi et soir Mabrouk Kourchid (qui n’a fait que son travail), Salim Ben Hamidène sera traduit devant la chambre criminelle.

Mais qu’il soit traduit ou pas, qu’il soit condamné ou pas, quel est notre tort, à nous autres contribuables tunisiens, qui devrons payer cette somme astronomique ? Car même s’il est condamné, il n’aura pas à payer cette somme. Il n’est qu’un maillon de la chaîne des responsabilités, tout d’abord, et il est certain qu’il se réfugiera en France, comme il l’a fait sous l’ancien régime et comme il l’a fait après la chute de la troïka en 2014 et sa propre défaite cuisante dans les dernières législatives. Salim Ben Hamidène, comme beaucoup d’islamistes, n’ont de prioritaire que leur propre personne. Quand il y a un dividende à recevoir, ils sont là aux premiers rangs comme en 2011. Mais quand il y a un devoir à accomplir, un impôt à payer, un service à rendre, ils sont aux abonnés absents.

 

La troisième bombe vient de l’Instance Vérité et Dignité (IVD) qui continue malgré les injonctions parlementaires et malgré les décisions du Tribunal administratif à poursuivre ses travaux. En dépit de leur illégalité manifeste, ils seront poursuivis jusqu’au 31 décembre. Sa présidente Sihem Ben Sedrine perdra tout avenir politique si elle ne satisfait pas ses amis islamistes et ses soutiens étrangers (principalement allemands et américains). Les différents élus limogés de l’IVD, les différents parlementaires, les différents politiques, les différents médias, les différents magistrats ont beau dénoncer les multiples abus et infractions, la bonne dame continue à exercer contre vents et marées pour mettre l’Etat tunisien devant le fait accompli : il sera appelé à indemniser les différentes victimes et supposées victimes de l’ancien régime et ça sera une facture de quelques milliards de dinars. Les victimes et supposées victimes sont essentiellement des islamistes qui étaient accusés, avant la révolution, de terrorisme. Parenthèse aux lecteurs européens, c’est comme si l’on invite le contribuable allemand ou français en 2050 à indemniser à coups de millions d’euros Seifallah H, Mohammed Haydar Zammar, Benjamin Herman, Salah Abdesslem ou les héritiers de Mohamed Merah. Parenthèse pour les lecteurs américains, c’est comme si les héritiers d’Oussama Ben Laden ou les hôtes de Guantanamo réclamaient des millions de dollars d’indemnités.

Une majorité parmi celles qui se sont présentées comme victimes à l’IVD militaient pour leur propre cause islamiste et non pour la Tunisie, la démocratie et ses libertés. Que l’Etat les ait torturés, c’est un fait, qu’il les ait mis hors d’état de nuire, c’est indéniable, mais il n’y avait pas à l’époque d’autre solution. L’injustifiable et inutile culture de la torture était dominante à l’époque. Elle était d’ailleurs (voire elle l’est encore) de mise dans les années 2000 aux Etats-Unis. Le camp de Guantanamo et la prison d’Abou Ghrib sont les plus célèbres cas. Pourquoi donc le Tunisien fauché des années 2020 doit-il payer les erreurs des années 1970-1980 et pourquoi y a-t-il d’indemnisation tout court pour des gens qui allaient terroriser et tuer des Tunisiens ?! Des gens qui militaient pour leur propre chapelle (mosquée) et non pour les autres Tunisiens !

Dans le lot de ceux qui se sont présentés comme victimes, il y a un nombre indéterminé de fausses victimes. On a bien attiré l’attention de Sihem Ben Sedrine, Khaled Krichi et autres membres restants de l’IVD  sur la mégalomanie, la cupidité et la mauvaise foi de certaines de ces prétendues victimes, mais les missives ont été balayées d’un trait. Ces gens là seront indemnisés malgré tout avec notre argent, car c’est ainsi qu’a décidé l’IVD, soutenue par les Américains et les Européens, ceux-là mêmes qui nous imposent les restrictions budgétaires, la privatisation et la dévaluation.

Sihem Ben Sedrine, elle-même militante pour sa propre chapelle après avoir été militante pour son compte bancaire avant la révolution, tient à satisfaire ces islamistes, car il n’est pas exclu qu’elle ait des ambitions présidentielles pour 2019. Un « prestigieux » institut de sondages américain l’a placé dans les premiers rangs de celles qui peuvent réussir la prochaine magistrature suprême.

 

Voilà les différents chèques que les Tunisiens vont devoir payer dès 2019 pendant que Hafedh Caïd Essebsi se chamaille avec Youssef Chahed, que Noureddine Taboubi nous menace de grève générale et que Rached Ghannouchi rappelle à ses troupes que leurs objectifs et leurs priorités n’ont jamais changé. Après avoir échoué à faire un putsch armé, les islamistes essaient le putsch démocratique en usant de leurs différentes marionnettes et avec l’appui (logistique et financier) des différentes supposées ONG européennes et américaines.

Par Nizar Bahloul
19/11/2018 | 15:59
9 min
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Commentaires (20)

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Lolo69
| 22-11-2018 09:18
Nous les vrais tunisien et tunisienne démocrate
On le sait tout sa ...
Les politiciens democrates tunisiens se perdent se désapprouve du peuple le seul qui a bon rôle se sont toujours les extrémistes de tout bord politiques attention à l abstention sa serait le moindre mal qui puisse leur arrivée
Le pire est à venir
Pauvre Tunisie

Bab ezzira
| 21-11-2018 11:04
Le couple batard islamo-communiste composé des frérots du diable et des anarchistes de jabhet el kharab oeuvrent de concert pour la destruction des fondements de la république.
Ils n'ont aucun espoir ni existence s'ils ne détruisent pas les institutions déjà existantes. Pour cela ils ont semés les embuscades , les pièges les bombes à retardement mais aussi des mines souterraines pour y arriver.
Le premier minage consiste à exploser les dépenses de l'état par l'augmentation du nombre de fonctionnaires, l'augmentation faramineuse de la masse salariale, le dédommagement des terroristes qui ont combattu l'Etat et qui doivent normalement crever à vie en prison.
Le deuxième minage était de priver l'Etat de ses ressources naturelles par les grèves (phosphate à Gafsa, Gas à Kerkenah, Petrole à Tataouine) la distribution des terres domaniales aux terroristes de la secte, l'encouragement de l'évasion fiscale (régime forfaitaire et autre supercheries fiscales)
Le troisième minage est la destruction de l'économie par le massacre du tissu existant par l'encouragement du commerce parallèle, les importations massives à crédit et en devises, la fermeture des usines grâce aux grèves à répétition et leurs délocalisation dans des pays concourent à la Tunisie, la vente des entreprises stratégiques et juteuses à nos concurrents directs etc etc
Le 4 eme minage consiste à infester les institutions pour détruire l'administration par des proches de ce couple batard. Ainsi presque tout est devenu parallèle et beaucoup n'obeissent qu'au gourou de la secte du diable et ne font allégeance qu'a sa mouvance internationale et leurs sponsors étrangers.
5 eme minage la reconstitution d'une armée de terroristes en endoctrinant et en envoyant vers les foyers de tensions des dizaines de milliers de jeunes Tunisiens qui nous reviennent bien entraînés et endoctrinés n'attendant que le signal du Gourou pour attaquer le pays comme un pitbull qui obéit à son maître . (mes excuses aux pitbull pour cette comparaison)
Le 6eme minage c'est la meilleur constitution du monde qui est un outil de destruction massive pour la république vu le nombre de bêtises qu'elle contient comme le régime des pouvoirs .
Le 7emme minage c'est le système électorale permettant aux racailles d'avoir des postes contre la volonté du peuple comme ce Yassine Ayari un extrémiste religieux élue avec moins de 250 Voix ou ce présidents fou de 3 M avec moins de 4000 voix.ou le clan du CPR et autres machins de merdes qui vivent des restes des suffrages.
Le 8 eme minage est ces instances dites constitutionnelle qui se positionnent au sommet du pouvoir et qui permettent à des étrangers de diriger la Tunisie tout en s'interférant avec les pouvoir existants. L'IVD est le meilleur exemple c'est le hold'up du siecle et l'ouverture du trésors public aux pires terroristes qui normalement doivent crever en prison.
Le 9 eme minage est l'instauration du droit à la grève comme droit constitutionnel. De ce fait YAAGOUBI et toutes les autres racailles sont dans leurs droits et aucun juge ne peut les condamner pour le tort causé à nos jeunes générations ni à l'école publique qui finira par disparaître au grand plaisir des investisseurs privés. Idem pour la santé ou tout autre secteur.
Dans un pays en retard comme le notre, le fonctionnaire représentant de l'état doit être au service du contribuable et non le contraire. L'Etat ne peut en aucun cas interrompre ses services pour le pays et le contribuable.
Le 10 eme et le plus grave minage est l'instauration du système de décentralisation avec les élections municipales. Il a pour but de créer des émirats islamistes en toute légalité. Regardez ce qu'a fait L'ayouni au Kram ou le maire de Sfax, il a fallu l'intervention du gourou pour les temporiser et attendre encore l'absorption douce et totale du gros suppositoire par le peuple bananier et idiot.
Ceci est un bref aperçu du champs de mines crée par le couple bâtard islamo anarchiste il existe pleins d'autres mines et bombes à retardement mais l'espace n'est pas dédié.

Bab ezzira
| 20-11-2018 19:11
Je ne cesserai de rappeler au peuple sans mémoire que l'IVD est le hold'up du siecle c'est l'ouverture des portes du trésors public aux terroristes de la secte du diable. Ils ont combattu la R'?PUBLIQUE ET LES TUNISIENS pour la gloire du diable de la secte et voila qu'ils s'adressent aujourd'hui à la république pour les indemniser pour leurs crimes commis. Ils nous considèrent comme un butin de guerre à se partager. Sauf que il faut s'endetter pour assouvir l'appétit sans fin de ces terroristes.
Youssef Chahed pour des calculs électoraux indignes baisse le pantalon devant le gourou de la secte et les frérots du diable. Les Tunisiens doivent sortir dans la rue pour vomir à jamais les frérots du diable et leurs sponsors etrangers. Tunisien il en va de la liberté de votre pays Personnellement JE REFUSE QU'ON TOUCHE A MES IMPOTS POUR INDEMNISER DES TERRORISTES QUI NORMALEMENT DOIVENT CREVER EN PRISON. Je refuse qu'on hypothèque nos enfants pour payer des indus aux terroristes de la secte. HONORABLES TUNISIENS MANIFESTEZ VOUS CONTRE CETTE MERDE D'OUTRE MER.

uno
| 20-11-2018 08:11
La première c'est la fin des années 70 quand le gouvernement tunisien était très mal conseiller a propos de l'affaire de gisement de pétrole dans les eaux territoriales tunisienne entre le Golf de zarsis et la libye ou monsieur belaid l'expert en droits international nous a fait perdre notre propre richesse pétrolière bien que kaddafi (allah yarhmou) nous a proposé d'exploiter la zone fifty,fifty malheureusement les tunisiens de beni hilal ont choisis d'aller au tribunaux international avec une equipe d'avocats de 4eme divisions alors que Kaddafi a choisis les avocats les plus corrompus au monde avec une connaissance parfaite du système mondiale de ces tribunaux ou tous s'achete et tous se vend
La deuxième nakba c'est d'affaire bouden ou he me rappelle a l'époque ou le pouvoir en place a vraiment abusé de lui ,etant plus intelligent que ces propre tribu de beni hilal il a préféré se venger on faisant appel au même type d'avocats de kaddafi certainement qu'il ya des accords avec lui genre fifty fifty sur le resultat donc l'affaire n'est plus au stade de bouden , moi si j'était conseillée du président
1 il faut annoncé que bouden pourra venir en tunisie pour reprendre son affaire son aucun jugement contre lui
2 lui donner toutes assistance a trouvé un terrain d'entente avec ces avocats féroces qui lui ont fait gagné l'affaire pour pouvoir arrosez tous les amis au tribunaux international qui ont contribué a cette victoire au momment ou les responsables tunisien sont en vacances

Angel
| 20-11-2018 00:57
il y aurait tellement à dire
Bravo pour vous!

Amazigh Tunisien
| 19-11-2018 21:40
Ya si Bahloul la Tunisie de Ben Ali et Bourguiba a tourné le dot mime contre les résistants contre la colonisation stp arrête tes mensonges et tes déformations de la réalité

Amazigh Tunisien
| 19-11-2018 21:36
Nous allons rentré dans une autre séries des articles de dénigrements des articles extrémistes radicales haine propagande... de Nizar Bahloul contre les islamistes contre Abbou, Marzouki Sihem ....et tout les militants contre Ben AlLI.
Nizar Bahloul fidèle à lui même, pour lui les seuls nationalistes sont RCD et Destourien et les amis Bourgeois!!!!

mansour
| 19-11-2018 21:12
sur laquelle nous sommes assis explosera si :
Si le gouvernement Ennahdha et Youssef Chahed+ bloc coalition nationale refuse d'appliquer la loi et les décisions du Tribunal administratif et laisse Sihem Ben Sedrine poursuivre l'activité de l'IVD
Si L'UGTT ne fait pas plier le syndicaliste-voyou Lassâad Yaâcoubi qui fait du chantage
Si les ministres contestés par les islamistes freres musulmans sont limogés pour protéger l'organisation secrète et la chambre noir
Si le scandale de la Banque franco-tunisienne qui réunit tous les corrompus politiques et économiques

Lion
| 19-11-2018 20:37
Quand la Tunisie est entre les mains des malfrats ,opportunistes , incompétents, revanchard, ignorants, psychopathes, ....à quoi s'attendre ? Merci pour ces bombes à retardement que nos enfants vont supporter davantage et qui ont poussé la matière grise à s'envoler vers d'autres cieux et la laisser à cette bande de clochards.

Zohra
| 19-11-2018 20:37
Les responsables des partis politiques se sont tirés une balle au pied avant même que la course ne s'engage. cette attitude n'avait de conséquences que seulement sur leurs ambitions personnelles, alors le désastre ne serait pas grave mais malheureusement il s'agit du destin de tout un pays et de l'avenir de millions d'individus qui sont en jeu. Perte de crédibilité sur le plan national et international. Le plus grand gagnant est Nahdha.