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Adel Grar : Le produit des cessions en 2018 a atteint 507 MDT
21/01/2019 | 09:15
1 min
Adel Grar : Le produit des cessions en 2018 a atteint 507 MDT

 

 

Le directeur général de Karama Holding, Adel Grar a indiqué, ce matin du lundi 21 janvier 2019, au micro de Wassim Ben Larbi sur les ondes d’Express Fm, que l’objectif de cession pour 2018 était de 500 MDT, assurant qu’il a été atteint et que les cessions sont à hauteur de 507 MDT durant l’année 2018.

 

« En même temps, fin décembre 2017, nous avons lancé les procédures de cession pour 17 dossiers. Tous ces dossiers n’ont pas été clôturés, puisque l’opération de cession peut prendre plusieurs mois. Cela dit plusieurs sont dans un état bien avancé. Ce n’est pas un travail annuel, mais un travail continu », indique Adel Grar.

 

Par ailleurs, le DG de Karama Holding a assuré que les procédures nécessaires entre la conclusion du contrat et le transfert de propriété peuvent pendre beaucoup de temps, « C’est le cas, par exemple, de la Banque Zitouna. L’investisseur a été trouvé, et on s’est accordé sur la valeur de cession. Mais l’opération ne peut être achevée qu’après l’obtention des agréments. Et dans ce cas précis, l’investisseur est amené à obtenir un double agrément, et de la Banque centrale, et du CGA (Comité général des Assurances), dans la mesure où 70% de Zitouna Takaful ont été vendus », précise-t-il.

 

Adel Grar a indiqué, également, que l’objectif pour 2019, est de 200 MDT, soulignant que parmi les sociétés concernées, la Société Utique, les participations dans Adwiya, AVS, les participations dans Oreedoo et Orange Tunisie.

 

S.H

21/01/2019 | 09:15
1 min
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Commentaires (6)

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Pourquoi faire
| 21-01-2019 21:24
L'objectif pour 2019 paraît bizarrement bas mais en Tunisie, nous ne sommes plus à une bizarrerie près.
Vu les entreprises à céder, on peut comprendre qu'entre amis, il n'y a pas l'argent qui compte...
C'est la normalité qui est bizarre en Tunisie !

Bab ezzira
| 21-01-2019 17:18
Merci pour l'intérêt que vous me portez, également c'est un plaisir de vous lire.
Je conviens que c'est nous qui avons sollicité le FMI et non le contraire.
Je conviens que certaines réformes exigées par le FMI sont une nécessité absolue pour le pays. C'est pour ça je défendais farouchement certaines reformes du FMI.
Mais je conviens aussi que le FMI profite de notre faiblesse pour nous imposer des reformes qui vont à l'encontre de nos intérêts, comme la libération totale de la circulation des marchandises alors qu'il hésite sur la libération de la circulation des humains qui va à l'encontre des pays occidentaux.
Nous ne sommes pas contre cette libération totale des échanges, mais actuellement le rapport des forces joue contre nous. C'est comme vous faites jouer un boxeur poids plume ou mouche contre dix boxeurs poids lourds au même temps sur le même ring. C'est une pure opération de carnage semblable à celle subie par notre pauvre économie.
Certains politicards excellent par l'obédience aux puissances Etrangères contre l'intérêt du pays et ce pour s'assurer une place sur le podium politique Tunisien, ou simplement quelques intérêts financiers privés.
Cher Dhej, pourquoi faire le riche qu'on est pauvre ? Pourquoi doit s'endetter pour consommer étranger ? Rien ne nous oblige à nous endetter pour continuer à consommer étranger. C'est le cadeau offert par nos politicards au FMI contre nos industries locales et contre l'emploi et l'investissement.

MIRA
| 21-01-2019 12:16
Je suis preneur et j'achéte tout

DHEJ
| 21-01-2019 11:37
Un régal de te lire. Toutefois le FMI ne nous impose rien.

D'ailleurs, le FMI a-t-il mandaté un gamin pour le représenter en Tunisie?

Le problème est purement tunisien et un problème de gouvernance.


Oui notre balance commerciale est déficitaire et qu'a fait le locataire de Carthage pour l'améliorer, lui qui est responsable de la politique extérieur? Rien du tout!


Ses ambassadeurs qu'ils désignent n'ont aucune agressivité commerciale pour ouvrir des opportunités aux marchandises tunisiennes.

Idem pour la passeport tunisien!!!

Le commerce international est une culture jadis des carthaginois mais jamais du GAMIN CHAHED qui n'a meme pas oser de créer un MINISTERE DU COMMERCE EXTERIEUR...

Et je ne pense pas que c'est le FMI qui le lui interdit mais des familles lobbyistes tunisiennes...

Très cordialement!

Bab ezzira
| 21-01-2019 10:24
Avec plus de 19 000 Milliards de déficit de la balance commerciale, l'Etat Tunisien est obligé d'emprunter pour financer les importations de biens de consommation non nécessaires à notre société tel ces gels hygiéniques intimes pour le cul ou autres aliments pour ânes parlants . La Tunisie supporte pour ces importateurs le service de la dette et le risque de change, alors que ces derniers détruisent le fragile tissu industriel national et ne s'acquittent pas (très souvent) de leurs obligations fiscales et douanières. Le gouvernement actuel leurs accordent même des amnisties, des abattements sur leurs dettes fiscales et même des facilités de payement, et ce dans l'unique but de plaire à leurs commanditaires du FMI.
Justement, ce meme FMI qui nous interdit de toucher à ces importations nous oblige à nous endetter pour les regler et conditionne les emprunts en devises (dont la majorité pour financer la consommation étrangère en devise) à la cession de nos entreprises publiques les plus lucratives et celles saisies après 2011 appartenant aux familles et proches de l'ancien régime.
Les cessions de ces entreprises (très juteuses avant 2011) se fait à prix bradées suite à la dévaluation exagérée et programmée du Dinars de plus de 300 % de sa valeur (un dinar vaut actuellement 3.5 euros alors que quelques années au paravent un dinar égalait un euros.)
A la fin de chaque année l'état s'endettera d'avantage pour permettre le rapatriement des bénéfices de ces sociétés jadis Tunisiennes, et on cédera d'autres à prix bradés pour les étrangers pour satisfaire le FMI et nous permettre de nous endetter de nouveaux.
Ces hommels de wladf moufida ont vendu le pays soit par ignorance soit par traîtrise, et il est urgent au peuple des ânes parlants de retrouver sa souveraineté et d'arrêter l'hémorragie des importations anarchiques à crédit.
IL FAUT ABSOLUMENT CHANGER DE MODELE ECONOMIQUE ET SAVOIR DIRE NON AU FMI COMME LE FAISAIENT LES '?CONOMISTES DU GRAND PR'?SIDENT BEN ALI.

DHEJ
| 21-01-2019 09:52
Le dinar de cession n'est plus le dinar d'aujourd'hui...