https://www.youtube.com/watch?v=UlFQON0_jIk
Tout est dit dans cette vidéo, pas besoin de chercher plus loin.
Commentant l’intervention du chef de l’Etat à l’occasion de la fête de la femme, le numéro 2 du parti islamiste, Ennahdha, Abdelfatteh Mourou a déclaré ce jeudi 17 août 2017 sur Express FM : « le chef de l’Etat n’a pas proposé de projet mais une idée, une suggestion. Une idée respectable qui sera étudiée par une commission », M. Mourou a cependant déploré que la commission en question n’inclue pas en son sein d’experts religieux (savant) issus de l’école Al Zitouna ou d’autres entités religieuses légitimes.
Il a par ailleurs révélé qu’Ennahdha se penchera sur la question « car actuellement, personne ne peut trancher. Le parti Ennahdha n’est pas un mufti et il est tenu, comme tout le monde, de respecter la constitution ».
Le premier vice-président de l'ARP et premier vice-président du mouvement Ennahdha a aussi mis en garde contre les retombées d’une telle problématique si elle était traitée de manière superficielle : « On n’a pas le droit de diviser le pays entre hommes et femmes ». Il a finalement annoncé que son parti mettra en place une commission pour « étudier la question ».
S.A
Commentant l’intervention du chef de l’Etat à l’occasion de la fête de la femme, le numéro 2 du parti islamiste, Ennahdha, Abdelfatteh Mourou a déclaré ce jeudi 17 août 2017 sur Express FM : « le chef de l’Etat n’a pas proposé de projet mais une idée, une suggestion. Une idée respectable qui sera étudiée par une commission », M. Mourou a cependant déploré que la commission en question n’inclue pas en son sein d’experts religieux (savant) issus de l’école Al Zitouna ou d’autres entités religieuses légitimes.
Il a par ailleurs révélé qu’Ennahdha se penchera sur la question « car actuellement, personne ne peut trancher. Le parti Ennahdha n’est pas un mufti et il est tenu, comme tout le monde, de respecter la constitution ».
Le premier vice-président de l'ARP et premier vice-président du mouvement Ennahdha a aussi mis en garde contre les retombées d’une telle problématique si elle était traitée de manière superficielle : « On n’a pas le droit de diviser le pays entre hommes et femmes ». Il a finalement annoncé que son parti mettra en place une commission pour « étudier la question ».
S.A