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Abdelfattah Mourou : bien sûr que la situation économique était meilleure sous Ben Ali !
10/06/2019 | 19:45
1 min
Abdelfattah Mourou : bien sûr que la situation économique était meilleure sous Ben Ali !

 

 

« Bien sûr que la situation économique était meilleure sous Ben Ali ! » a affirmé, ce lundi 10 juin 2019, Abdelfattah Mourou, premier vice-président de l'Assemblée des représentants du peuple.

 

Lors de son intervention sur Radio Diwan FM, Abdelfattah Mourou a précisé que cette réussite n’a été possible que grâce aux responsables formés par Bourguiba. « Ben Ali gouvernait avec des cadres formés par Bourguiba, ce n’est pas lui qui a réussi mais son staff, des gens qui ont été à l’école de Bourguiba et qui respectaient la loi. Ceux qui ont été formés par lui, ce sont ces personnes que nous trainons aujourd'hui et qui tirent la vie politique vers le bas » a-t-il ajouté.

 

A.S

10/06/2019 | 19:45
1 min
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Commentaires (13)

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momo
| 11-06-2019 16:48
Je n'ai pas de sympathie particulière pour ce M°, mais ses propos sont pour une fois exact, Bourguiba était un bâtisseur ,un entrepreneur ,c'est l'ouvrier de la nation tunisienne ,et comme chacun sait les bâtisseurs sont la cible de ceux qui ne font rien ,les minables ,les envieux et les sans grades ,or tout les gens sensés savent que les résultats d'une telle politique exigent de la durée ,du temps .Ben Ali à su en profiter pour sortir le pays d'une crise économique comparable à celle d'aujourd'hui.
Avez vous remarqué que chaque fois que les islamiste disposent d'un pouvoir quelconque la crise sévit terriblement ,jadis avec Mzali avec l'arabisation à outrance et aujourd'hui avec les frérots.
M° Chaker ,vos mots sont un venin pour détruire et diviser le pays ,par pitié si vous êtes arabe ,allez y chez les arabes ,et laissez nous notre identité tunisienne avec sa pluralité

SAMIA
| 11-06-2019 16:15
Vive La Tunisie Democratic sakhta 3la mokhek!

Houcine
| 11-06-2019 13:29
Cet homme est un idéologue qui maîtrise l'art du symbole et comme tout dogmatique déploie tous les ressorts de la séduction pour rallier à ses vues à défaut de convaincre tel le sophiste.
Voilà un homme de premier rang de la confrérie qui trouve des mérites à Ben Ali et, ce faisant absout sa secte en absentant ses responsabilités dans la situation du pays. Celle-là même qu'ils ont créée.
Il lui reste à invoquer Allah pour unique recours, pour lui et sa secte. Et, comme il est de ceux qui se targuent de tant de vertus, il serait bien avisé de laisser les hommes se charger de leur vie ici-bas puisque nous lui abandonnons volontiers la charge du souci de l'Eternité.
Nous n'attendons rien de lui, ni de quiconque de ses affidés, nous aimerions tout juste qu'il ne se donne pas des responsabilités que nous ne lui concédons point.

Tunisien
| 11-06-2019 12:21
Vive la Tunisie Démocratique NON arabe et Laïque.

Mohamed 1
| 11-06-2019 11:29
Dire la vérité est craindre dieu. Ses collègues qui mentent continuellement...Sans commentaires !

mansour
| 11-06-2019 11:28
le pays sortira en boitant après 8 années de pouvoir grotesque,truffé de corruption,de crimes,de terrorisme islamiste,d'assassinats politique et d'amateurisme politique avec l'islam politique des islamiste freres musulmans salafistes au pouvoir depuis 2011

Un sahélien.
| 11-06-2019 11:17
Meurs de ta rage.

MFH
| 11-06-2019 10:49
Un khouenji, pur et dur, reconnaissant, publiquement et sans détours, les mérites et les qualités d'un grand chef d'état du nom de Bourguiba, est un évènement exceptionnel. Seuls les grands suscitent une telle admiration.

Abel Chater
| 11-06-2019 09:37
Je me rappelle de l'homme de principe Abdelfettah Mourou, qui s'est transformé en le caméléon de la République, qui raconte n'importe quelle sottise, pour se rapprocher de ses propres bourreaux.
On me raconte que cet avocat qui nichait en plein grabuge à la rue de la commission à Sidi Boumendil, s'est transformé en tout un bloc à étages, qui s'occupent des affaires pistonnées, malgré son absence pour gagner son pain à l'ARP.
Seule la "Jebba" et la "Kachta" nous rappellent de ce qu'était cet homme de principe. Aujourd'hui, il n'est que le décor de sa propre silhouette. Il n'a pas honte de se vanter de l'éducation sous Bourguiba. Cette éducation de "Bèbon", "Chobbèkon", "Jamèlon", "Joljoulon". Des bancs d'école, des estrades, un tableau noir et de la craie en calcaire blanc, avec plein de bâtons et de croisez les bras. Ceux qui quittaient l'école chez Bourguiba, furent plus nombreux que ceux qui s'y tenaient. A peine le défunt dictateur déchu Bourguiba, qu'il trouva Ahmed Ben Salah (un Sahli éduqué), qu'il lui octroya le ministère des Affaires sociales, le ministère du Plan, le ministère des Finances, le ministère de l'Economie et le ministère de l'Education nationale à la fois de 1961 à sa condamnation aux travaux forcés en 1969. Il a appauvri les propriétaires et enrichi ses «Swahliyas». Une catastrophe et un gigantesque crime contre le peuple tunisien, parce que Bourguiba n'avait pas trouvé d'autres hommes compétents dans sa région du Sahel.
Abdelfettah Mourou prétend que la compétence n'appartenait qu'aux ministres de Bourguiba. Ces mêmes ministres de la dictature qui ont laissé la Tunisie en squelettes, ne fut-ce l'intervention de l'autre dictateur déchu Ben Ali, qui sauva l'énorme faillite de Bourguiba et de ses applaudisseurs.
Que le peuple tunisien sache, que lorsque Bourguiba ne trouva de ministres compétents parmi ses régionalistes En 1969, au point qu'il octroya cinq (5) ministères à la fois à Ahmed Ben Salah, les Européens regardaient déjà leurs télévisions en couleur.
Ces menteurs de «Guèfla etsir», de «Denfir mil Mestir», de «Sayèd Lassièd» et du génie de la politique des étapes «sièssit el-marahel», dont on a dépassé aucune étape ni la moindre «marhalè» jusqu'à aujourd'hui, au point que beaucoup prétendent, que la Tunisie reste le dernier pays d'Afrique à devoir encore se libérer de sa colonisation par la France.
Vive la Tunisie démocratique arabe et musulmane de régime parlementaire.

Citoyen de Tunisie
| 11-06-2019 09:14
Ben Ali tout comme Bourguiba gouvernaient et ne pataugeaient pas.
Notre crise économique est le fruit de la gouvernance de la troïka qui ne comprend rien à la balance économique et qui insiste dans son ignorance. D'ailleurs Marzouki promet encore des postes d'emploi dans la fonction publique qu'il paiera grâce à la banque centrale qui imprimera des billets de 200 dinars.