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66% des Tunisiens préfèrent travailler dans le secteur public
Selon les derniers chiffres de Sigma Conseil, rendus publics par Hassen Zargouni, aujourd’hui lundi 25 mai 2015, 66,4% des Tunisiens préfèrent travailler dans le secteur public contre 33,6% qui penchent pour un poste dans le privé.
Les catégories les plus attirées par la fonction publique étant les femmes à 74,9%, les moins de 18 ans à 66,4% ainsi que les 45-55 ans avec 73,5%.
S.T.
Commentaires (16)
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Oisifs
Ataturk
| 26-05-2015 11:32
Si 66% des tunisiens préfèrent travailler au secteur public, c'est qu'ils sont oisifs, car dans ce secteur on ne travaille pas. On ne fait qu'attendre le versement de son salaire et ses primes, on sort de son bureau qu'on on veut, on y arrive et on le quitte quand on veut.. c'est le paradis des oisifs
La cigale et la fourmis
ABDOU
| 25-05-2015 23:37
Avec ce qui se passe, je suis decide a me presenter aux prochaines election avec un programme tres simple: 1/ Service national obligatoire pour leur inculquer les sens du devoir et de la discipline,
2/ Faire apprendre a tous les eleves, instituteurs et professeurs 2 recitations de La Fontaine qu'il faut connaitre par coeur comme mot de passe pour la reussite a n'importe quel test : le laboureur et ses enfants et la Cigale et la fourmis.
2/ Faire apprendre a tous les eleves, instituteurs et professeurs 2 recitations de La Fontaine qu'il faut connaitre par coeur comme mot de passe pour la reussite a n'importe quel test : le laboureur et ses enfants et la Cigale et la fourmis.
Croche-pied et croche-pieds.....
je dis la vérité
| 25-05-2015 21:56
Je demande à mes lecteurs de m'excuser sur la faute d'orthographe commise, dans mon précédent commentaire.
"Croche-pied" donne au pluriel "croche-pieds".
Je vous raconte une petite anecdote sur les dictées, quand j'étais au lycée.
Dans les années soixante, la dictée était la règle, jusqu'à la classe de 3ème. La classe de 3ème, c'était l'équivalent de quatre années secondaires aujourd'hui.
La dictée était une matière importante et son coefficient était fort.
De la classe de 6ème à la classe de 3ème, on avait une dictée, une fois par semaine.
Les professeur de Français, nous "maltraitaient", avec de très longues dictées et des mots bizarres, tirés de textes d'auteurs anciens.
Je me souviens, en classe de 3ème, l'année du Brevet, avoir joué de vilains tours à mon camarade assis à côté de moi, sur le même banc.Cet élève m'embêtait toujours. D'ailleurs, il était "méchant" avec toute la classe....
Moi, je connaissais son talon d'Achille.
Lui, il hésitait beaucoup sur l'orthographe d'usage et avait des problèmes avec les terminaisons, en orthographe grammaticale.
Il tenait toujours à "pomper", ce que j'écrivais. Il avait reçu plusieurs avertissements du professeur.
Je trouvais le moyen de me "venger" de lui, en orthographiant incorrectement des verbes conjugués et les rectifiant aussitôt au dernier moment, pendant la relecture autorisée, en utilisant ma gomme.
Quand le verdict de la note tombait, il était abasourdi de la bonne note que j'obtenais. Il ne pouvait pas digérer sa mauvaise note, alors qu'il m'avait "bien copié".
"Croche-pied" donne au pluriel "croche-pieds".
Je vous raconte une petite anecdote sur les dictées, quand j'étais au lycée.
Dans les années soixante, la dictée était la règle, jusqu'à la classe de 3ème. La classe de 3ème, c'était l'équivalent de quatre années secondaires aujourd'hui.
La dictée était une matière importante et son coefficient était fort.
De la classe de 6ème à la classe de 3ème, on avait une dictée, une fois par semaine.
Les professeur de Français, nous "maltraitaient", avec de très longues dictées et des mots bizarres, tirés de textes d'auteurs anciens.
Je me souviens, en classe de 3ème, l'année du Brevet, avoir joué de vilains tours à mon camarade assis à côté de moi, sur le même banc.Cet élève m'embêtait toujours. D'ailleurs, il était "méchant" avec toute la classe....
Moi, je connaissais son talon d'Achille.
Lui, il hésitait beaucoup sur l'orthographe d'usage et avait des problèmes avec les terminaisons, en orthographe grammaticale.
Il tenait toujours à "pomper", ce que j'écrivais. Il avait reçu plusieurs avertissements du professeur.
Je trouvais le moyen de me "venger" de lui, en orthographiant incorrectement des verbes conjugués et les rectifiant aussitôt au dernier moment, pendant la relecture autorisée, en utilisant ma gomme.
Quand le verdict de la note tombait, il était abasourdi de la bonne note que j'obtenais. Il ne pouvait pas digérer sa mauvaise note, alors qu'il m'avait "bien copié".
66% de fainéants
kameleon78
| 25-05-2015 21:48
Le secteur public c'est pour les fainéants cela ne rapporte pas un sou à l'économie du pays donc ce n'est pas étonnant que les tunisiens préfèrent le secteur public, la planque à vie, avec ça vous n'irez pas loin. Le nahdaouis ont recruté en masse pendant les trois dernières années, le pays s'est endetté et en même temps il ne produit plus de richesses, réveillez vous les fainéants vous êtes cuits. Je commence à comprendre John Wayne, c'est un peuple de gueux, de fainéants et de sous développés du cerveau.
Oui....Pour plusieurs raisons.....
je dis la vérité
| 25-05-2015 21:09
@Hatem C avait bien analysé le conflit entre le salarié et son entreprise.....privée.
La très grande majorité des sociétés tunisiennes, même anonymes, sont gérées par des "dynasties".
Un cadre, ingénieur ou administratif, ne peut pas évoluer dans une PME. Il finit vite par déchanter et partir.
Le secteur privé rémunère mieux que la fonction publique, mais....
Les compétents reçoivent des "croches-pieds" et n'évolueront pas. Partir est pour eux un salut.
Alors autant moisir dans un bureau, quelque part dans un ministère, que de finir "diabétique".
La très grande majorité des sociétés tunisiennes, même anonymes, sont gérées par des "dynasties".
Un cadre, ingénieur ou administratif, ne peut pas évoluer dans une PME. Il finit vite par déchanter et partir.
Le secteur privé rémunère mieux que la fonction publique, mais....
Les compétents reçoivent des "croches-pieds" et n'évolueront pas. Partir est pour eux un salut.
Alors autant moisir dans un bureau, quelque part dans un ministère, que de finir "diabétique".
Moi aussi je veux travailler dans le BILIC
DHEJ
| 25-05-2015 21:00
Un bilic que j'avais quitté début des années 90 car il ne convenait pas alors pourquoi le réintégrer...
Mais m'étant installé au privé, je me suis trouvé malmené par les fameuses administrations BILIQUES, une situation désastreuse, solution:
L'INFORMEL!
Mais m'étant installé au privé, je me suis trouvé malmené par les fameuses administrations BILIQUES, une situation désastreuse, solution:
L'INFORMEL!
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